@ Baron
Question conso, c'est à peu près ça avec ma 244 T "stock" en usage tranquille, selon le scrupuleux respect de la vitesse en vigueur
.
Je connais quelqu'un qui en fait son "daily driver" avec 12 litres en moyenne sur sa 244 T de près de 300 000 km.
Contrairement à certaines idées reçues, la turbo-compression est bien maîtrisée chez Volvo.
Les misères de quelques uns sont dues à des carences d'entretien et de savoir-vivre, nécessaires sur le long terme pour ménager le turbo au démarrage à froid et après long trajet à bonne allure, avant de couper le contact.
Donc, pour en revenir à ma 244 T, en profitant de copieuses accélérations, on grimpe à 13,5 l, et du coup, elle est incomparablement plus intéressante, tellement cette Volvo a une vitalité communicative
!
De nos jours, cette conso "d'époque" peut choquer, c'est vrai, mais replacée dans son contexte de Turbomania du début des années 80, certaines concurrentes étaient autrement plus gloutonnes
!
Les plus séniles d'entre nous se rappellent peut-être des Mitsubishi Lancer Turbo, R 18 Turbo I et II, BMW 745 i, Saab 99 Turbo, Porsche 930 Turbo (injection K-Jet, hé oui
!), Porsche 924 Turbo, etc...
31 ans plus tard, cette simple Volvo Turbo à injection K-Jet sans intercooler, ne vole pas son coco
.
Autant la 244 T s'avère docile en conduite coulée, autant en conduite vive, les relances ont un délicieux goût d'interdit
.
La vitesse de pointe? Bof! Elle est donnée pour 200 "chrono", mais on s'amuse bien sans aller aussi haut.
Sachant que le staff de journalistes du numéro de Sport Auto de Décembre 80, dont faisait partie l'excellent Jean-Louis Trintignant, lui a fait consommer près de 18 litres en moyenne, dont un circuit à 27 l aux 100!
Aucune pitié
!
Par contre, le SP 98 n'est pas seulement recommandé, sur ce modèle sans intercooler, au moteur "très chaud" par conception, il est obligatoire pour mieux éviter le cliquetis (pas de capteurs -knocking sensors- pour prévenir ce phénomène comme sur le B 200 ET).
Tournant avec un jus d'patates infâme, les versions ricaines au B 21 FT se contentent d'un SP local à 91 d'indice d'octane, au détriment de réglages et d'un rendement spécifiques:
127 ch DIN et enfin 162 ch avec le montage d'un intercooler soit par rétrofit IBS pour les modèles antérieurs à 84, soit de série, dès 84 jusqu'à la fin en 85
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Question conso, c'est à peu près ça avec ma 244 T "stock" en usage tranquille, selon le scrupuleux respect de la vitesse en vigueur

Je connais quelqu'un qui en fait son "daily driver" avec 12 litres en moyenne sur sa 244 T de près de 300 000 km.
Contrairement à certaines idées reçues, la turbo-compression est bien maîtrisée chez Volvo.
Les misères de quelques uns sont dues à des carences d'entretien et de savoir-vivre, nécessaires sur le long terme pour ménager le turbo au démarrage à froid et après long trajet à bonne allure, avant de couper le contact.
Donc, pour en revenir à ma 244 T, en profitant de copieuses accélérations, on grimpe à 13,5 l, et du coup, elle est incomparablement plus intéressante, tellement cette Volvo a une vitalité communicative

De nos jours, cette conso "d'époque" peut choquer, c'est vrai, mais replacée dans son contexte de Turbomania du début des années 80, certaines concurrentes étaient autrement plus gloutonnes

Les plus séniles d'entre nous se rappellent peut-être des Mitsubishi Lancer Turbo, R 18 Turbo I et II, BMW 745 i, Saab 99 Turbo, Porsche 930 Turbo (injection K-Jet, hé oui

31 ans plus tard, cette simple Volvo Turbo à injection K-Jet sans intercooler, ne vole pas son coco

Autant la 244 T s'avère docile en conduite coulée, autant en conduite vive, les relances ont un délicieux goût d'interdit

La vitesse de pointe? Bof! Elle est donnée pour 200 "chrono", mais on s'amuse bien sans aller aussi haut.
Sachant que le staff de journalistes du numéro de Sport Auto de Décembre 80, dont faisait partie l'excellent Jean-Louis Trintignant, lui a fait consommer près de 18 litres en moyenne, dont un circuit à 27 l aux 100!
Aucune pitié

Par contre, le SP 98 n'est pas seulement recommandé, sur ce modèle sans intercooler, au moteur "très chaud" par conception, il est obligatoire pour mieux éviter le cliquetis (pas de capteurs -knocking sensors- pour prévenir ce phénomène comme sur le B 200 ET).
Tournant avec un jus d'patates infâme, les versions ricaines au B 21 FT se contentent d'un SP local à 91 d'indice d'octane, au détriment de réglages et d'un rendement spécifiques:
127 ch DIN et enfin 162 ch avec le montage d'un intercooler soit par rétrofit IBS pour les modèles antérieurs à 84, soit de série, dès 84 jusqu'à la fin en 85

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