14-04-2008, 22:34:08
Bonjour à tous !
Volvo, ça a été longtemps pour moi une de mes collègues qui possédait une 440 qui lui coûtait une fortune en entretien. Elle n'arrêtait pas de s'en plaindre.
Puis, un jour, j'ai rencontré ma femme... Dans une autre vie, elle avait eu une Volvo 240 break essence 7 places. Elle l'avait usée jusqu'au bout, mais elle en avait toujours gardé un excellent souvenir.
Aussi, au détour d'une rue, nous avons croisé une 940 break diesel de 1991 : 900 � sans contrôle technique. On a craqué : on a appelé le numéro du propriétaire qui est descendu, qui nous a laissé faire le tour du pâté de maison et on l'a achetée en moins d'une heure. On l'a remise en état (problèmes de tension du câble de frein à main, flexibles de freins...) et on l'a gardée quelques mois, fait 3 ou 4 000 km. Sympa. J'ai été conquis. Jusqu'au jour où il a fallu changer le joint de culasse.
Craignant quelque peu la facture que l'on aurait pu avoir chez le concessionnaire Volvo de la région (parce que les concessionnaires sont rares en Basse-Normandie) on a donc décidé de l'emmener chez un garagiste avec une enseigne "spécialiste Volvo". 1 500 � de travaux et grosse fumée blanche lors de la récupération du véhicule. Ce, pendant plusieurs centaines de kilomètres. Bien sûr, le "spécialiste Volvo" n'a pas reconnu son erreur... si erreur il y avait. En attendant, elle ne fumait pas du tout avant qu'on l'emmène chez lui.
Par relation, nous avons trouvé un ancien chef d'atelier Volvo qui a examiné la bête : verdict, moteur HS. Il nous a proposé de nous en poser un qu'il avait en stock pour 1 000 �. On a tout d'abord accepté : j'étais contaminé par le virus... Puis, voyant qu'il vendait son break 940 de 1992 en turbo diesel, il nous a fait une sorte de reprise. Caisse : 275 000 km ; moteur, 150 000 km révisé par le jeune retraité. Et c'était surtout son véhicule personnel.
Depuis, c'est le bonheur : aucun souci. Aucune fuite de quelque sorte que ce soit.
Il y a un an, j'ai eu besoin de changer notre deuxième voiture. Honnêtement, on partait sur une petite voiture du style Clio, 206... d'occasion. En faisant les garages, on est tombé sur une S40 TD de 1997 avec 154 000 km 4 500 �. J'ai fait baisser le prix de 500 � : il avait visiblement le véhicule depuis quelque temps. Pas facile de vendre du Volvo parfois. Je l'ai emmenée chez mon chef d'atelier retraité qui m'a donné le feu vert et je l'ai achetée. Je sais que certains n'apprécient pas le moteur Renault qui se trouve dessus, le bruit à l'intérieur, mais, là encore, j'ai été conquis par cette voiture.
En quelques années, je suis passé de l'état de méfiance envers Volvo à celui d'adoration. Le jour où l'une de mes deux Volvo lâchera, je ferai tout pour reprendre une autre... Volvo. Seule crainte, l'abondance d'électronique que l'on retrouve sur les modèles plus modernes...
Pour la petite histoire, notez que je suis également propriétaire d'une Renault 4 pour le plaisir de faire de la mécanique "simple". Parce que je ne mets pas souvent les mains dans le moteur des Volvo dont nous sommes actuellement propriétaires : je n'en ai pas l'occasion, elles marchent très bien.
Voilà ma petite histoire de Volvo. Je ne sais pas si elle vous aura intéressés, mais c'est la mienne.
Plus tard, quand j'aurai un peu de temps, je vous ferai conaître visuellement mes deux voitures.
Volvo, ça a été longtemps pour moi une de mes collègues qui possédait une 440 qui lui coûtait une fortune en entretien. Elle n'arrêtait pas de s'en plaindre.
Puis, un jour, j'ai rencontré ma femme... Dans une autre vie, elle avait eu une Volvo 240 break essence 7 places. Elle l'avait usée jusqu'au bout, mais elle en avait toujours gardé un excellent souvenir.
Aussi, au détour d'une rue, nous avons croisé une 940 break diesel de 1991 : 900 � sans contrôle technique. On a craqué : on a appelé le numéro du propriétaire qui est descendu, qui nous a laissé faire le tour du pâté de maison et on l'a achetée en moins d'une heure. On l'a remise en état (problèmes de tension du câble de frein à main, flexibles de freins...) et on l'a gardée quelques mois, fait 3 ou 4 000 km. Sympa. J'ai été conquis. Jusqu'au jour où il a fallu changer le joint de culasse.
Craignant quelque peu la facture que l'on aurait pu avoir chez le concessionnaire Volvo de la région (parce que les concessionnaires sont rares en Basse-Normandie) on a donc décidé de l'emmener chez un garagiste avec une enseigne "spécialiste Volvo". 1 500 � de travaux et grosse fumée blanche lors de la récupération du véhicule. Ce, pendant plusieurs centaines de kilomètres. Bien sûr, le "spécialiste Volvo" n'a pas reconnu son erreur... si erreur il y avait. En attendant, elle ne fumait pas du tout avant qu'on l'emmène chez lui.
Par relation, nous avons trouvé un ancien chef d'atelier Volvo qui a examiné la bête : verdict, moteur HS. Il nous a proposé de nous en poser un qu'il avait en stock pour 1 000 �. On a tout d'abord accepté : j'étais contaminé par le virus... Puis, voyant qu'il vendait son break 940 de 1992 en turbo diesel, il nous a fait une sorte de reprise. Caisse : 275 000 km ; moteur, 150 000 km révisé par le jeune retraité. Et c'était surtout son véhicule personnel.
Depuis, c'est le bonheur : aucun souci. Aucune fuite de quelque sorte que ce soit.
Il y a un an, j'ai eu besoin de changer notre deuxième voiture. Honnêtement, on partait sur une petite voiture du style Clio, 206... d'occasion. En faisant les garages, on est tombé sur une S40 TD de 1997 avec 154 000 km 4 500 �. J'ai fait baisser le prix de 500 � : il avait visiblement le véhicule depuis quelque temps. Pas facile de vendre du Volvo parfois. Je l'ai emmenée chez mon chef d'atelier retraité qui m'a donné le feu vert et je l'ai achetée. Je sais que certains n'apprécient pas le moteur Renault qui se trouve dessus, le bruit à l'intérieur, mais, là encore, j'ai été conquis par cette voiture.
En quelques années, je suis passé de l'état de méfiance envers Volvo à celui d'adoration. Le jour où l'une de mes deux Volvo lâchera, je ferai tout pour reprendre une autre... Volvo. Seule crainte, l'abondance d'électronique que l'on retrouve sur les modèles plus modernes...
Pour la petite histoire, notez que je suis également propriétaire d'une Renault 4 pour le plaisir de faire de la mécanique "simple". Parce que je ne mets pas souvent les mains dans le moteur des Volvo dont nous sommes actuellement propriétaires : je n'en ai pas l'occasion, elles marchent très bien.
Voilà ma petite histoire de Volvo. Je ne sais pas si elle vous aura intéressés, mais c'est la mienne.
Plus tard, quand j'aurai un peu de temps, je vous ferai conaître visuellement mes deux voitures.
Actuellement : V70 II 2,4 T 2000, 174 000 km ; 964 B6254FS 1996, 299 000 km ; 945 D24 TIC 1992, 322 000 km ; 945 B230 1997, 250 000 km ; 945 B200 1993, 414 000 km ; Â 745 B230 1990, 350 000 km ; 245 B200 1986, 218 000 km ; 245 D24 1992, 289 000 km ; 244 B23 1983, 280 000 km ; 121 B20 1969 ; Land Rover Serie 3 1981, 54 000 km ;Â Moto MZ 125 1975