07-04-2006, 11:06:22
Lourd tribut payé à la guerre de 14 notamment, statistiquement largement plus que la moyenne nationale.
Il est vrai que durant cette période trouble des années 30, est apparue la tentation d'instrumentaliser la lutte bretonne au bénéfice d'une certaine conception politique...
Mais rassurez-vous, elle n'a pas duré longtemps.
C'est juste aussi que dans les années 30, le sport explosait, on était aussi en plein renouveau des jeux olympiques, et de l'esprit supposé en découler.
On raconte encore l'histore de René Scordia, 22 ans en 1927, 62 kg, qui parcoura 40 km à vélo pour se rendre au tournoi de Plouay, vint rapidement à bout de deux lutteurs bien plus lourds que lui, puis s'affronta à Jaffré, 100 kg, pendant une heure, avant qu'il ne soit mis un terme au combat, faute de vainqueur...
L'année suivante cepandant, une mauvaise chute sur la tête lui fit perdre la vie.
Cet événement fut à l'origine d'une codification plus claire de ce sport.
Depuis, pas un seul mort, des blessés de temps en temps, mais largement moins que chez les skieurs-touristes.
Il est vrai que durant cette période trouble des années 30, est apparue la tentation d'instrumentaliser la lutte bretonne au bénéfice d'une certaine conception politique...
Mais rassurez-vous, elle n'a pas duré longtemps.
C'est juste aussi que dans les années 30, le sport explosait, on était aussi en plein renouveau des jeux olympiques, et de l'esprit supposé en découler.
On raconte encore l'histore de René Scordia, 22 ans en 1927, 62 kg, qui parcoura 40 km à vélo pour se rendre au tournoi de Plouay, vint rapidement à bout de deux lutteurs bien plus lourds que lui, puis s'affronta à Jaffré, 100 kg, pendant une heure, avant qu'il ne soit mis un terme au combat, faute de vainqueur...
L'année suivante cepandant, une mauvaise chute sur la tête lui fit perdre la vie.
Cet événement fut à l'origine d'une codification plus claire de ce sport.
Depuis, pas un seul mort, des blessés de temps en temps, mais largement moins que chez les skieurs-touristes.