Ayé, ben ça n'as pas été sans mal...
A chaque fois que je présentais ma courroie, il manquait quelques centimètres pour que je puisse la glisser sur les ACT.
J'avais beau faire, essayer de tirer dessus (pas trop : peur de l'étirer ou de la casser), de la glisser sur la poulie de pompe à eau pour que ce soit plus aisé au niveau de la force ou sur la poulie lisse en face du tendeur afin d'avoir le moins de chemin à faire.
Rien...
Je m'y suis épuisé.
Hier j'ai donc laissé le chantier en plan histoire de reprendre ça à tête reposée.
En plus il a plu... donc...
Ce matin je m'y remets : idem...
Gros, gros coup de blues.
J'avais même demandé l'aide de mon voisin qui est mécano pro pour trouver ce que je n'avais pas fait comme il fallait.
Aide programmée pour demain après midi.
Pourtant, tout à l'heure j'ai essayé à nouveau et...
Tadaaaaam....
Cette saloperie de vis était coincée derrière la poulie de vilebrequin.
quelque part là derrière.
on y voit à peu près autant qu'en réalité.
Je l'ai trouvé en tâtonnant... et cette salope était bien, mais alors bien coincée...
Bon, je n'étais pas non plus resté sans rien faire :
Vérification de la bonne pose des joints spy à l'arrière des ACT.
Celui-ci, ça n'était pas du luxe : il était mal posé, et il faut impérativement démonter le "bidule en plastique" permettant au capteur de position d'ACT de fonctionner.
Repose du "bidule en plastique", puis repose du support de capteur de position, qui fait aussi office de carter d'ACT.
On admire un des sacs congélation ayant permis de ne pas tout paumer...
Je ne les ai pas photographiés à chaque fois, mais je vous conseille de procéder ainsi : la pièce, et les vis qui vont avec si on ne peut pas les laisser sur leur support).
De l'autre côté, pareil, et on repose le couvercle (ne pas oublier de huiler tout ça... non seulement ça facilite la pose, mais ça permet au joint de mieux faire son office).
Avant...
Après
Repose de l'ECM avec changement de joint, du MAF, de la boîte à air et on reconnecte tout ce qui doit l'être.
- joint silicone sur tous les embouts en caoutchouc (pas trop pour ne pas perturber les calculateurs)
- pulvérisation d'un nettoyant contact sur tous les contacteurs et relais.
Inutile de préciser pourquoi.
Et donc...
Voili-voilou!
Les deux courroies en place!
J'en ai bien chi*!
Petite chose amusante et très, mais alors très importante.
Le tendeur de courroie.
C'est un engin du diable auquel on ne comprends absolument rien avant qu'il ne soit en place.
- il ne faut pas le fixer à son couple de serrage tout de suite. Il doit rester "libre".
- mettre la courroie en place et bien sûr la faire passer sur le tendeur.
- placer l'ergot pourvu d'un trou pour une clé allen de Ø 6 à "11h".
- mettre (difficilement) la clé allen dans son trou.
- observez bien l'ergot qui se trouve en vis à vis de mon pouce, de l'autre côté des nervures de la courroie. Il se trouve rejeté à gauche des deux encoches en métal qui sont en fait un détrompeur pour mettre la poulie en place correctement.
On appuie sur la clé allen pour qu'elle se positionne à "7h"
Observez à nouveau l'ergot : il s'est déplacé sur la droite, et se trouve maintenant entre les deux guides : c'est sa position normale lorsque la température ambiante est de 20°C.
Comme c'est la température aujourd'hui : il suffit de serrer la vis centrale à son couple (25Nm) et le tour est joué.
En fait, ça : c'est super simple.
Je le répète : impossible de comprendre comment ça marche avant que le galet ne soit en place.
Si la température avait été celle de la semaine dernière (40°C), j'aurait positionné l'ergot un peu plus à droite. Et bien sûr, si la température avait été fraîche (jusqu'à 0°C) : l'ergot aurait été positionné plus à gauche.
Le drôle de parcours de la Courroie d'accessoire : pas logique du tout : vérifier deux ou trois fois sa mise en place.
Le gros Torx permettant de tendre et détendre la poulie d'accessoire.
Bien, mais alors bien chiante à manoeuvrer lorsqu'on a pas le bon outil...
M'enfin, j'y suis arrivé.
Ne pas oublier de mettre un tournevis en bas, pour bloquer les courroies en place lorsqu'on les mets sur les poulies du haut.
Moment solennel : on mets l'huile (5,8l)
Accessoirement, on dévisse les bougies qu'on avait consciencieusement vissé au couple.
Because...
...On doit faire tourner le vilebrequin afin de s'assurer que tout fonctionne, qu'il n'y a pas de collision entre les soupapes et les têtes de piston.
Et alors avec les compression, ben c'est pas possible...
Déjà qu'avec les ACT en place et l'huile qui n'est pas en pression c'est pas la panacées...
M'enfin, ça tourne... et après deux ou trois tours...
Ca n'est pas décalé.
(la photo fait apparaître les encoches légèrement décalées par rapport aux marques sur les poulies, mais c'est du au défaut optique de parallaxe. c'est bien en face).
Voilà, elles sont donc en place...
Rien que pour le plaisir.
Oouf!
A chaque fois que je présentais ma courroie, il manquait quelques centimètres pour que je puisse la glisser sur les ACT.
J'avais beau faire, essayer de tirer dessus (pas trop : peur de l'étirer ou de la casser), de la glisser sur la poulie de pompe à eau pour que ce soit plus aisé au niveau de la force ou sur la poulie lisse en face du tendeur afin d'avoir le moins de chemin à faire.
Rien...
Je m'y suis épuisé.
Hier j'ai donc laissé le chantier en plan histoire de reprendre ça à tête reposée.
En plus il a plu... donc...
Ce matin je m'y remets : idem...
Gros, gros coup de blues.
J'avais même demandé l'aide de mon voisin qui est mécano pro pour trouver ce que je n'avais pas fait comme il fallait.
Aide programmée pour demain après midi.
Pourtant, tout à l'heure j'ai essayé à nouveau et...
Tadaaaaam....
Cette saloperie de vis était coincée derrière la poulie de vilebrequin.
quelque part là derrière.
on y voit à peu près autant qu'en réalité.
Je l'ai trouvé en tâtonnant... et cette salope était bien, mais alors bien coincée...
Bon, je n'étais pas non plus resté sans rien faire :
Vérification de la bonne pose des joints spy à l'arrière des ACT.
Celui-ci, ça n'était pas du luxe : il était mal posé, et il faut impérativement démonter le "bidule en plastique" permettant au capteur de position d'ACT de fonctionner.
Repose du "bidule en plastique", puis repose du support de capteur de position, qui fait aussi office de carter d'ACT.
On admire un des sacs congélation ayant permis de ne pas tout paumer...
Je ne les ai pas photographiés à chaque fois, mais je vous conseille de procéder ainsi : la pièce, et les vis qui vont avec si on ne peut pas les laisser sur leur support).
De l'autre côté, pareil, et on repose le couvercle (ne pas oublier de huiler tout ça... non seulement ça facilite la pose, mais ça permet au joint de mieux faire son office).
Avant...
Après
Repose de l'ECM avec changement de joint, du MAF, de la boîte à air et on reconnecte tout ce qui doit l'être.
- joint silicone sur tous les embouts en caoutchouc (pas trop pour ne pas perturber les calculateurs)
- pulvérisation d'un nettoyant contact sur tous les contacteurs et relais.
Inutile de préciser pourquoi.
Et donc...
Voili-voilou!
Les deux courroies en place!
J'en ai bien chi*!
Petite chose amusante et très, mais alors très importante.
Le tendeur de courroie.
C'est un engin du diable auquel on ne comprends absolument rien avant qu'il ne soit en place.
- il ne faut pas le fixer à son couple de serrage tout de suite. Il doit rester "libre".
- mettre la courroie en place et bien sûr la faire passer sur le tendeur.
- placer l'ergot pourvu d'un trou pour une clé allen de Ø 6 à "11h".
- mettre (difficilement) la clé allen dans son trou.
- observez bien l'ergot qui se trouve en vis à vis de mon pouce, de l'autre côté des nervures de la courroie. Il se trouve rejeté à gauche des deux encoches en métal qui sont en fait un détrompeur pour mettre la poulie en place correctement.
On appuie sur la clé allen pour qu'elle se positionne à "7h"
Observez à nouveau l'ergot : il s'est déplacé sur la droite, et se trouve maintenant entre les deux guides : c'est sa position normale lorsque la température ambiante est de 20°C.
Comme c'est la température aujourd'hui : il suffit de serrer la vis centrale à son couple (25Nm) et le tour est joué.
En fait, ça : c'est super simple.
Je le répète : impossible de comprendre comment ça marche avant que le galet ne soit en place.
Si la température avait été celle de la semaine dernière (40°C), j'aurait positionné l'ergot un peu plus à droite. Et bien sûr, si la température avait été fraîche (jusqu'à 0°C) : l'ergot aurait été positionné plus à gauche.
Le drôle de parcours de la Courroie d'accessoire : pas logique du tout : vérifier deux ou trois fois sa mise en place.
Le gros Torx permettant de tendre et détendre la poulie d'accessoire.
Bien, mais alors bien chiante à manoeuvrer lorsqu'on a pas le bon outil...
M'enfin, j'y suis arrivé.
Ne pas oublier de mettre un tournevis en bas, pour bloquer les courroies en place lorsqu'on les mets sur les poulies du haut.
Moment solennel : on mets l'huile (5,8l)
Accessoirement, on dévisse les bougies qu'on avait consciencieusement vissé au couple.
Because...
...On doit faire tourner le vilebrequin afin de s'assurer que tout fonctionne, qu'il n'y a pas de collision entre les soupapes et les têtes de piston.
Et alors avec les compression, ben c'est pas possible...
Déjà qu'avec les ACT en place et l'huile qui n'est pas en pression c'est pas la panacées...
M'enfin, ça tourne... et après deux ou trois tours...
Ca n'est pas décalé.
(la photo fait apparaître les encoches légèrement décalées par rapport aux marques sur les poulies, mais c'est du au défaut optique de parallaxe. c'est bien en face).
Voilà, elles sont donc en place...
Rien que pour le plaisir.
Oouf!
SRW (<= heavenly white and red, indeed)
S70 B5252FS 1997 100,000 km : THE Glory Box. Rapatriement DE-FI-NI-TIF!
C70 coupé, B5244S2 2000 170,000 km : moteur serré : partie à la casse.
S80 2,9l 1999 : partie pour sauvetage.
780 ça a failli faillir.