Allez hop... y a que Domi qui suit... mais ça me suffit.
Ban!
Alors wouala.
Pour mémoire, voici à quoi ressemble un moteur Volvo 5 cylindres "classic", sans turbo (B5254S avec un arbre à came à levée variable).
Sans son capot
Voici la puta*n de sa mère de durite plus ou moins impliquée dans le collapsus. (voir explication plus bas)
Bobine n°2 : ça a chauffé pas mal... le caoutchouc s'est presque vulcanisé une deuxième fois...
Bougie n°1 : bon, de l'huile "fraiche" (plutôt une émulsion) sur les électrodes, mais rien de bien méchant.
Bougie N°6, heu... ouais... c'était un peu "riche" et les dépôts carbonés sont comacs.
Bougie N°2, ah ouais, quand même...
Puits de bougie N°5. Impossible de photographier la chose correctement, mais la chambre de combustion est remplie de liquide. Probablement de LDR...
Nos amis les injecteurs.
Ils ont bien besoin d'un petit bain (j'ai oublié d'acheter de l'essence E... j'ai un appareil à ultrasons qui va bien pour ça).
C'est beau un B25254S au crépuscule.... hein?
Mouais... pour une huile qui a moins de deux semaines... on voit bien qu'elle a diablement chauffé!
Excellente nouvelle : l'ECM n'a pas d'huile vaporisée sur le papillon. Ni sur les parois d'ailleurs.
Un peu de dépôt carboné, mais c'est normal.
Un garage?
Quel garage?
Nota : le granit bleu au sol est la pierre la plus dure d'Europe.
Je vous assure qu'on le sens bien.
(Eh oui, vive le "Haynes"! Ce bouquin est génial...)
L'ecu est difficile à retirer.
Ca se fait en trois phases : couvercle, boîtier, socle. Dans l'ordre.
Mieux vaut laisser le socle où il est après avoir retiré l'ECU.
Emballé dans un film "four à micro-ondes".
Elle est comme moi, elle est allergique à la morphine et aux opiacées : elle a dégueulé tout rouge...
Excellent souvenir pour ma part : j'ai éclaboussé mon chirurgien.
Là, elle a fait ça durant l'intervention, mais je suis sauf.
Suite bientôt...
Ban!
Alors wouala.
Pour mémoire, voici à quoi ressemble un moteur Volvo 5 cylindres "classic", sans turbo (B5254S avec un arbre à came à levée variable).
Sans son capot
Voici la puta*n de sa mère de durite plus ou moins impliquée dans le collapsus. (voir explication plus bas)
Bobine n°2 : ça a chauffé pas mal... le caoutchouc s'est presque vulcanisé une deuxième fois...
Bougie n°1 : bon, de l'huile "fraiche" (plutôt une émulsion) sur les électrodes, mais rien de bien méchant.
Bougie N°6, heu... ouais... c'était un peu "riche" et les dépôts carbonés sont comacs.
Bougie N°2, ah ouais, quand même...
Puits de bougie N°5. Impossible de photographier la chose correctement, mais la chambre de combustion est remplie de liquide. Probablement de LDR...
Nos amis les injecteurs.
Ils ont bien besoin d'un petit bain (j'ai oublié d'acheter de l'essence E... j'ai un appareil à ultrasons qui va bien pour ça).
C'est beau un B25254S au crépuscule.... hein?
Mouais... pour une huile qui a moins de deux semaines... on voit bien qu'elle a diablement chauffé!
Excellente nouvelle : l'ECM n'a pas d'huile vaporisée sur le papillon. Ni sur les parois d'ailleurs.
Un peu de dépôt carboné, mais c'est normal.
Un garage?
Quel garage?
Nota : le granit bleu au sol est la pierre la plus dure d'Europe.
Je vous assure qu'on le sens bien.
(Eh oui, vive le "Haynes"! Ce bouquin est génial...)
L'ecu est difficile à retirer.
Ca se fait en trois phases : couvercle, boîtier, socle. Dans l'ordre.
Mieux vaut laisser le socle où il est après avoir retiré l'ECU.
Emballé dans un film "four à micro-ondes".
Elle est comme moi, elle est allergique à la morphine et aux opiacées : elle a dégueulé tout rouge...
Excellent souvenir pour ma part : j'ai éclaboussé mon chirurgien.
Là, elle a fait ça durant l'intervention, mais je suis sauf.
Suite bientôt...
SRW (<= heavenly white and red, indeed)
S70 B5252FS 1997 100,000 km : THE Glory Box. Rapatriement DE-FI-NI-TIF!
C70 coupé, B5244S2 2000 170,000 km : moteur serré : partie à la casse.
S80 2,9l 1999 : partie pour sauvetage.
780 ça a failli faillir.