19-01-2015, 00:36:45
De rien, Clément
!
Dans le monde Volvo, tout le monde déteste le V6 PRV, parce que ce n'est pas un moteur Volvo "pur sucre".
Parce qu'effectivement, son angle d'ouverture singeant ceux des V8, son cycle d'allumage est... spécial...
Parce que "l'ancêtre B 30" à 6-en-L a été arrêté en 74 remplacé par le "bâtard" V6, qui lui, a passé haut la main toutes les certifications de dépollution aux USA, au Japon, ... offrant aux Volvo V6 PRV ces marchés exigeants et lucratifs.
Enfin, tout le monde porte aux nues les "moteurs rouges" parce toute la maintenance est simplifiée par un accès plus facile!
C'est très vrai et cependant, la mémoire est sélective
.
Volvo n'a jamais été foutu de fiabiliser son V6 PRV turbo-compressé (problème de surchauffe non résolu
!), tout au contraire de Renault
.
Alors, comme les" blocs rouges" ne se portent pas trop mal et que j'ai aussi beaucoup d'affection pour eux, ils n'ont pas besoin de moi!
Je préfère défendre le V6 PRV, qui présente aussi des arguments... oubliés
.
Alors oui, les ultimes versions dites "ZPJ" chez PSA (inconnues chez Volvo) 3,0 l de 170 ch catalysées sont mélodieuses, équilibrées, rageuses même en V6-24 de 200 ch de 89 à 95!
Le 2,8 l "B 280" (170/147 ch) "enfin équilibré" ronronne sous les capots des 760 Mk II (87/90) et des coupés 780 Bertone.
En remontant le temps en 81, il distille sa mélodie rocailleuse sous le capot des 260 jusqu'en 82 pour les berlines, tandis que "le fer de lance" 760 GLE est mû par le même "B 28 E" jusqu'en 86.
La première moûture en injection mécanique d'essence donnait de 141 à 148 ch en 2,6 l (2664 cm3) sur les premières 260 en 1975 à 1980.
Les versions d'attaque DL se contentaient du 2,6 l à carburateur SU ou ZS, comme les spécifications "import" de certains marchés à l'essence de mauvaise qualité.
Le V6 PRV, c'est un authentique moteur Volvo, parce qu'il est lui aussi, partout, de tous temps, de tous les coups
!

Dans le monde Volvo, tout le monde déteste le V6 PRV, parce que ce n'est pas un moteur Volvo "pur sucre".
Parce qu'effectivement, son angle d'ouverture singeant ceux des V8, son cycle d'allumage est... spécial...
Parce que "l'ancêtre B 30" à 6-en-L a été arrêté en 74 remplacé par le "bâtard" V6, qui lui, a passé haut la main toutes les certifications de dépollution aux USA, au Japon, ... offrant aux Volvo V6 PRV ces marchés exigeants et lucratifs.
Enfin, tout le monde porte aux nues les "moteurs rouges" parce toute la maintenance est simplifiée par un accès plus facile!
C'est très vrai et cependant, la mémoire est sélective

Volvo n'a jamais été foutu de fiabiliser son V6 PRV turbo-compressé (problème de surchauffe non résolu


Alors, comme les" blocs rouges" ne se portent pas trop mal et que j'ai aussi beaucoup d'affection pour eux, ils n'ont pas besoin de moi!
Je préfère défendre le V6 PRV, qui présente aussi des arguments... oubliés

Alors oui, les ultimes versions dites "ZPJ" chez PSA (inconnues chez Volvo) 3,0 l de 170 ch catalysées sont mélodieuses, équilibrées, rageuses même en V6-24 de 200 ch de 89 à 95!
Le 2,8 l "B 280" (170/147 ch) "enfin équilibré" ronronne sous les capots des 760 Mk II (87/90) et des coupés 780 Bertone.
En remontant le temps en 81, il distille sa mélodie rocailleuse sous le capot des 260 jusqu'en 82 pour les berlines, tandis que "le fer de lance" 760 GLE est mû par le même "B 28 E" jusqu'en 86.
La première moûture en injection mécanique d'essence donnait de 141 à 148 ch en 2,6 l (2664 cm3) sur les premières 260 en 1975 à 1980.
Les versions d'attaque DL se contentaient du 2,6 l à carburateur SU ou ZS, comme les spécifications "import" de certains marchés à l'essence de mauvaise qualité.
Le V6 PRV, c'est un authentique moteur Volvo, parce qu'il est lui aussi, partout, de tous temps, de tous les coups

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