11-03-2014, 21:57:39
(Modification du message : 11-03-2014, 22:01:34 par Olive 244 T.)
Pour avoir actuellement en pension la "préhistoire" en 244 DL "B 20 A" et les "temps modernes" en 850 T-5, l'électronique apporte sa part positive en puissance et consommation optimisée avec une dépollution efficace, moins de résidus imbrûlés, plus de régularité et de confort de conduite.
Dieu sait si j'adore la simplicité et la rusticité d'un bon vieux carbu à aiguille type ZS ou une injection mécanique K-Jetronic; or ces systèmes d'alimentation en essence ont avoué leurs limites avec l'avènement du catalyseur disponible à la moitié des années 80 et devenu obligatoire pour tout véhicule commercialisé en France en 1994.
Certains pays ont été précurseurs comme l'Allemagne où le super plombé a été supprimé en 1995. Nous avons traîné tant et plus jusqu'en 2000 avec le "supercarburant" comme on disait à l'époque.
D'ailleurs, du fait d'un stock de carbus à écouler, de nombreux constructeurs ont étrenné les ultimes générations de "carburateurs pauvres" comme Volvo sur leurs hauts-de gamme 1er prix en 240 et 740 Export en B 230 FK (Heron) à carbu, de même que PSA avec sa 605 SL et XM carbu, Audi 100 CC, etc...
Pour en revenir à l'injection électronique multi-point, les capteurs disséminés çà et là renseignent l'ECU (Electronic Computer Unit) pour optimiser le fonctionnement du moteur, de la boîte (si automatique) et l'OBD (On Board Diagnosis) "balance" sur les modèles 92-95.
Gardés en mémoire, les défauts fugitifs ou permanents apparaissent par un code au moyen de signaux lumineux via un LED.
Inutile de désosser toute la voiture, l'OBD permet d'organiser un meilleur diagnostic pour une intervention ciblée ou plus basiquement signaler un capteur AAC hors d'usage, par exemple, à changer tout simplement.
Même en n'ayant pas le chéquier assez long pour une occaz' récente électronisée (question de priorité), on ne pourra échapper à son équipement de plus en plus présent à bord des autos modernes décotées par le temps et rendues plus abordables.
La résistance d'esprits curieux et volontaires s'organise via le Net pour échapper aux diktats de concessions trop promptes à gagner de l'argent trop facile. La valise, encore elle !
Les tuttos de mécanos "Do it yourself" motivés de bons forums donnent un aperçu de la difficulté technique de l'opération, la nécessité ou non d'outillage spécifique, de trucs précieux pour limiter les galères, ...
Qu'on soit en ancienne ou en moderne, difficile d'échapper à quelques soucis relevant du temps qui passe et/ou de l'usage.
C'est le charme après tout. Le "c'est moi qui l'ai fait" renforce encore le plaisir de posséder et conduire son auto à soi qu'on apprend à connaitre activement .
Dieu sait si j'adore la simplicité et la rusticité d'un bon vieux carbu à aiguille type ZS ou une injection mécanique K-Jetronic; or ces systèmes d'alimentation en essence ont avoué leurs limites avec l'avènement du catalyseur disponible à la moitié des années 80 et devenu obligatoire pour tout véhicule commercialisé en France en 1994.
Certains pays ont été précurseurs comme l'Allemagne où le super plombé a été supprimé en 1995. Nous avons traîné tant et plus jusqu'en 2000 avec le "supercarburant" comme on disait à l'époque.
D'ailleurs, du fait d'un stock de carbus à écouler, de nombreux constructeurs ont étrenné les ultimes générations de "carburateurs pauvres" comme Volvo sur leurs hauts-de gamme 1er prix en 240 et 740 Export en B 230 FK (Heron) à carbu, de même que PSA avec sa 605 SL et XM carbu, Audi 100 CC, etc...
Pour en revenir à l'injection électronique multi-point, les capteurs disséminés çà et là renseignent l'ECU (Electronic Computer Unit) pour optimiser le fonctionnement du moteur, de la boîte (si automatique) et l'OBD (On Board Diagnosis) "balance" sur les modèles 92-95.
Gardés en mémoire, les défauts fugitifs ou permanents apparaissent par un code au moyen de signaux lumineux via un LED.
Inutile de désosser toute la voiture, l'OBD permet d'organiser un meilleur diagnostic pour une intervention ciblée ou plus basiquement signaler un capteur AAC hors d'usage, par exemple, à changer tout simplement.
Même en n'ayant pas le chéquier assez long pour une occaz' récente électronisée (question de priorité), on ne pourra échapper à son équipement de plus en plus présent à bord des autos modernes décotées par le temps et rendues plus abordables.
La résistance d'esprits curieux et volontaires s'organise via le Net pour échapper aux diktats de concessions trop promptes à gagner de l'argent trop facile. La valise, encore elle !
Les tuttos de mécanos "Do it yourself" motivés de bons forums donnent un aperçu de la difficulté technique de l'opération, la nécessité ou non d'outillage spécifique, de trucs précieux pour limiter les galères, ...
Qu'on soit en ancienne ou en moderne, difficile d'échapper à quelques soucis relevant du temps qui passe et/ou de l'usage.
C'est le charme après tout. Le "c'est moi qui l'ai fait" renforce encore le plaisir de posséder et conduire son auto à soi qu'on apprend à connaitre activement .
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