Je touche du bois: le turbo de ma 244 T est d'origine avec 157 000 km, collecteur itou!
Sur les millésimes 81-82 traînent de sinistres histoires de casse prématurée de l'un et de l'autre à 75 000 km. On était alors en pleine turbomania!
Défaut de fabrication
?
Défaut d'utilisation?
Défaut d'entretien?
Les deux choses qu'un turbo déteste, c'est une huile sale et un défaut de refroidissement.
La première non vidangée en temps et en heure, dégradée, pleine d'impuretés abrasives va constituer des dépôts réduisant petit à petit le diamètre des conduits, comme le mauvais choléstérol sur nos artères, privant l'axe de turbo d'un débit d'huile suffisant tout en l'usant par abrasion.
L'énorme chaleur irradiée par le turbo tournant de 50 000 tr/mn en mode atmo, à plus de 120 000 tr/mn en pleine charge nécessite un film d'huile sous pression en quantité et en qualité car son palier repose directement dessus.
La bonne circulation d'huile et son refroidissement via un radiateur dédié et le circuit de refroidissement du moteur, sont capitaux pour éviter qu'elle résine et obstrue les conduits.
On imagine plus aisément ses contraintes techniques et donc toute l'importance préventive de prêter attention à des échéances de vidange-remplissage d'huile moteur raccourcies par rapport à un moteur atmosphérique.
Je vous épargne le sermon d'une mise en service de la température progressive à partir d'un moteur froid.
Et le contraire, après un très long trajet rondement mené, l'observation de quelques petites minutes au ralenti avant de couper le contact.
Du reste, c'est confirmé par les manuels de réparation Volvo ou plus simplement dans le livret conducteur.
Dans mon exemple ancien, une Volvo 240 atmo B 21 E se vidange tous les 10 000 km MAXI.
La 240 Turbo, c'est 5 000 km MAXI
.
Dans un exemple plus moderne, la revue technique américaine Haynes préconise une vidange d'huile-moteur à 16 000 km MAXI pour une Volvo 850 atmo.
L'échéance passe à 8000 km MAXI pour un 850 T5.
Dans les faits, qui s'en soucie
?
Sur les millésimes 81-82 traînent de sinistres histoires de casse prématurée de l'un et de l'autre à 75 000 km. On était alors en pleine turbomania!
Défaut de fabrication
? Défaut d'utilisation
?Défaut d'entretien
?Les deux choses qu'un turbo déteste, c'est une huile sale et un défaut de refroidissement.
La première non vidangée en temps et en heure, dégradée, pleine d'impuretés abrasives va constituer des dépôts réduisant petit à petit le diamètre des conduits, comme le mauvais choléstérol sur nos artères, privant l'axe de turbo d'un débit d'huile suffisant tout en l'usant par abrasion.
L'énorme chaleur irradiée par le turbo tournant de 50 000 tr/mn en mode atmo, à plus de 120 000 tr/mn en pleine charge nécessite un film d'huile sous pression en quantité et en qualité car son palier repose directement dessus.
La bonne circulation d'huile et son refroidissement via un radiateur dédié et le circuit de refroidissement du moteur, sont capitaux pour éviter qu'elle résine et obstrue les conduits.
On imagine plus aisément ses contraintes techniques et donc toute l'importance préventive de prêter attention à des échéances de vidange-remplissage d'huile moteur raccourcies par rapport à un moteur atmosphérique.
Je vous épargne le sermon d'une mise en service de la température progressive à partir d'un moteur froid.
Et le contraire, après un très long trajet rondement mené, l'observation de quelques petites minutes au ralenti avant de couper le contact.
Du reste, c'est confirmé par les manuels de réparation Volvo ou plus simplement dans le livret conducteur.
Dans mon exemple ancien, une Volvo 240 atmo B 21 E se vidange tous les 10 000 km MAXI.
La 240 Turbo, c'est 5 000 km MAXI
.Dans un exemple plus moderne, la revue technique américaine Haynes préconise une vidange d'huile-moteur à 16 000 km MAXI pour une Volvo 850 atmo.
L'échéance passe à 8000 km MAXI pour un 850 T5
. Dans les faits, qui s'en soucie
?