30-10-2011, 00:42:59
Un moteur turbo "basse pression" est théoriquement moins consommant car le volume d'air-essence est tributaire de la pression d'air comprimé plus basse à l'admission.
Plus le turbo comprime, plus la conso augmente .
Si un moteur turbo "classique" soufflant ses 0,8 à 1,0 kg était si économique, pourquoi presque chaque constructeur (Volvo, bien sûr, PSA, VAG, etc...) aurait développé son LPT "maison" perdant en "coup de pied au cul" ce qu'il a gagné en courbe de couple copieuse ?
La souplesse d'usage à très bas régime dès 1 750 tr/mn jusqu'à 5 500 tr/mn modère la conso car toujours au régime optimal.
En LPT, les hauts régimes, pourquoi faire ?
J'ai eu la chance de conduire une volvo S 60 Mk I 2,5 Turbo "basse pression" de 210 ch. Superbe Volvo jaune Maya .
La poussée est longue et linéaire, mais énergique si l'on se fie à l'aiguille du tachymètre qui montre des chiffres à faire tousser , à l'opposé d'une mamie 240 Turbo au tempérament brutal, performante, physique, jouissive, mais ayant un goût immodéré pour la tisane, soufflante en route .
Sans doute que chacune de ces Volvo, aussi différemment motorisées, impriment un style de conduite ad'hoc.
Apaisé, efficace ce qui ne veut pas dire mollasson avec la première.
Joueur, turbo en pleine charge, imparfaite avec la seconde.
Le poids, les prises de force (AWD), les lieux d'évolution, le style de conduite ... impactent l'appétit de la bête.
Plus le turbo comprime, plus la conso augmente .
Si un moteur turbo "classique" soufflant ses 0,8 à 1,0 kg était si économique, pourquoi presque chaque constructeur (Volvo, bien sûr, PSA, VAG, etc...) aurait développé son LPT "maison" perdant en "coup de pied au cul" ce qu'il a gagné en courbe de couple copieuse ?
La souplesse d'usage à très bas régime dès 1 750 tr/mn jusqu'à 5 500 tr/mn modère la conso car toujours au régime optimal.
En LPT, les hauts régimes, pourquoi faire ?
J'ai eu la chance de conduire une volvo S 60 Mk I 2,5 Turbo "basse pression" de 210 ch. Superbe Volvo jaune Maya .
La poussée est longue et linéaire, mais énergique si l'on se fie à l'aiguille du tachymètre qui montre des chiffres à faire tousser , à l'opposé d'une mamie 240 Turbo au tempérament brutal, performante, physique, jouissive, mais ayant un goût immodéré pour la tisane, soufflante en route .
Sans doute que chacune de ces Volvo, aussi différemment motorisées, impriment un style de conduite ad'hoc.
Apaisé, efficace ce qui ne veut pas dire mollasson avec la première.
Joueur, turbo en pleine charge, imparfaite avec la seconde.
Le poids, les prises de force (AWD), les lieux d'évolution, le style de conduite ... impactent l'appétit de la bête.