Une premiere mais pas une nouveauté selon l'Officiel des Transporteurs du 27/04/2009 http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/11157/bacteries-dans-le-gazole-une-contamination-a-prendre-au-serieux.html
"Les bactéries prolifèrent dans le gazole. L’origine ? La présence d’eau dans le gazole. Le remède passe par l'hygiène des cuves et des précautions sur le carburant. En cas de contamination, des méthodes curatives s’imposent.
Les bactéries dans le gazole sont une nouvelle histoire d’eau qui émeut certains transporteurs. Quelques cas ont été relevés, provoquant des pannes mécaniques. L’affaire, même si elle n’est pas nouvelle, est à prendre au sérieux. Les spécialistes sont unanimes : pas d’eau, pas de bactéries. Si le gazole est infecté, c’est toujours dû à la présence d’eau, source de foyers bactériens. Depuis 2008,la présence d’esters méthyliques d’huiles végétales (7 à 8 % d'EMVH) dans le carburant augmente le phénomène d’absorption d’eau, car les esters sont hydrophiles.
La solution est-elle soluble dans l'eau ?
Tant que l’eau est dissoute, rien ne se passe. C’est quand elle passe à l’état libre – sous l’effet d’une baisse de température – que le risque de développement de bactéries apparaît. Avec les systèmes d’injection modernes, les retours de carburant vers le réservoir sont plus chauds, ce qui favorise la prolifération bactérienne. Les EMVH ont aussi la particularité de cristalliser à basse température sous forme de paraffine qui obture les filtres. Enfin en vieillissant, ils s’oxydent et épaississent.
L’eau peut aussi venir de l’extérieur de la cuve, entrées d’eaux pluviales, eaux de lavage, voire de la nappe phréatique. Une cuve enterrée n’est pas totalement à l’abri, surtout si l’environnement n’est pas stable. Mais l’eau pénètre également naturellement dans la cuve avec l’air humide, porteur de nombreux germes. D’où l’intérêt de bien disposer les évents par rapport au vent.
Un coup de frais, et l’humidité se condense et se dépose au fond de la cuve."
"Les bactéries prolifèrent dans le gazole. L’origine ? La présence d’eau dans le gazole. Le remède passe par l'hygiène des cuves et des précautions sur le carburant. En cas de contamination, des méthodes curatives s’imposent.
Les bactéries dans le gazole sont une nouvelle histoire d’eau qui émeut certains transporteurs. Quelques cas ont été relevés, provoquant des pannes mécaniques. L’affaire, même si elle n’est pas nouvelle, est à prendre au sérieux. Les spécialistes sont unanimes : pas d’eau, pas de bactéries. Si le gazole est infecté, c’est toujours dû à la présence d’eau, source de foyers bactériens. Depuis 2008,la présence d’esters méthyliques d’huiles végétales (7 à 8 % d'EMVH) dans le carburant augmente le phénomène d’absorption d’eau, car les esters sont hydrophiles.
La solution est-elle soluble dans l'eau ?
Tant que l’eau est dissoute, rien ne se passe. C’est quand elle passe à l’état libre – sous l’effet d’une baisse de température – que le risque de développement de bactéries apparaît. Avec les systèmes d’injection modernes, les retours de carburant vers le réservoir sont plus chauds, ce qui favorise la prolifération bactérienne. Les EMVH ont aussi la particularité de cristalliser à basse température sous forme de paraffine qui obture les filtres. Enfin en vieillissant, ils s’oxydent et épaississent.
L’eau peut aussi venir de l’extérieur de la cuve, entrées d’eaux pluviales, eaux de lavage, voire de la nappe phréatique. Une cuve enterrée n’est pas totalement à l’abri, surtout si l’environnement n’est pas stable. Mais l’eau pénètre également naturellement dans la cuve avec l’air humide, porteur de nombreux germes. D’où l’intérêt de bien disposer les évents par rapport au vent.
Un coup de frais, et l’humidité se condense et se dépose au fond de la cuve."
Les (plus ou moins) roulantes :
- la berline déglacée : S60 2,4 l 20s BVM sport 232 000 km
- le cab' suédois : C70 2,4 l 20s BVM 196 000 km
- le cab' italien : Fiat Barchetta 76 000 km
- le Veau Présidentiel : Citroën XM 244 000 km
Les disparues : 244 DL phares ronds 1976, 340 Redline, 245 GL D6 1979, 245 GL D24 323426 km, 850 GLT 2,5 l 20s BVA 363 000 km
Et 2 court sur pattes
