Bonjour à tous,
Mordu par une Volvo quand j'étais petit (portière de 244 : 1 - index droit : 0), j'ai attrapé le virus... et une cicatrice.
J'ai vécu cette passion par procuration avec les différents modèles possédés par mon père (244, 245, 745, 850, v70) ; avant de devoir faire face à de graves crises de manque quand celui-ci est passé à l'ennemi.
Malheureusement, mon portefeuille, ma femme, mes trois enfants et l'âge de raison m'ont contraint à rouler dans de plus ou moins plaisants déplaçoirs.
Mais avec l'approche imminente des 40 ans, la fièvre m'a repris... J'ai cédé pour une S40.
Elle est bien éloignée des briques et des parpaings dont je rêve encore, mais je voulais mettre, à moindre coût, le pied dans l'univers Volvo (Jean Leguin, humoriste).
Et faire accepter ma passion pour les suédoises à ma femme était chose plus aisée avec une récente à vil prix. Comme disait le grand philosophe épicurien J.M. Bigard : " dans un premier temps, laissez vous pénétrer par l'idée ".
La bête est donc une très basique 1.6 16s de 1998 (en finition Oceanis ?) avec 213 000 km, achetée moins cher qu'une tondeuse auto-portée.
Bien entendu, elle présente mieux sur les photos de l'annonce qu'en réalité.
Pas mal de soucis esthétiques à revoir, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur (préparez vous à rire), mais un bon dossier de factures d'entretien qui atteste d'un bon suivi par le même propriétaire pendant plus de 12 ans.
Alors que je l'essayais en traînant un peu les pieds, imaginant que le plus petit moteur de la gamme s40 devait être anémique, j'ai été agréablement surpris. Il faut dire qu'avec un antédiluvien monospace TD et une encore plus ancienne Clio Cléon de 1.2, je pourrais prendre une Logan pour une voiture course...
Je me suis donc attaché à cette petite Volvo et j'espère bien pouvoir partager avec vous sa remise à niveau progressive.
Une dernière précision. Comme mon pseudo l'indique (plus ou moins), je suis de Nantes.
Volvoistes bretons et ligériens, me voilà.
Mordu par une Volvo quand j'étais petit (portière de 244 : 1 - index droit : 0), j'ai attrapé le virus... et une cicatrice.
J'ai vécu cette passion par procuration avec les différents modèles possédés par mon père (244, 245, 745, 850, v70) ; avant de devoir faire face à de graves crises de manque quand celui-ci est passé à l'ennemi.
Malheureusement, mon portefeuille, ma femme, mes trois enfants et l'âge de raison m'ont contraint à rouler dans de plus ou moins plaisants déplaçoirs.
Mais avec l'approche imminente des 40 ans, la fièvre m'a repris... J'ai cédé pour une S40.
Elle est bien éloignée des briques et des parpaings dont je rêve encore, mais je voulais mettre, à moindre coût, le pied dans l'univers Volvo (Jean Leguin, humoriste).
Et faire accepter ma passion pour les suédoises à ma femme était chose plus aisée avec une récente à vil prix. Comme disait le grand philosophe épicurien J.M. Bigard : " dans un premier temps, laissez vous pénétrer par l'idée ".
La bête est donc une très basique 1.6 16s de 1998 (en finition Oceanis ?) avec 213 000 km, achetée moins cher qu'une tondeuse auto-portée.
Bien entendu, elle présente mieux sur les photos de l'annonce qu'en réalité.
Pas mal de soucis esthétiques à revoir, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur (préparez vous à rire), mais un bon dossier de factures d'entretien qui atteste d'un bon suivi par le même propriétaire pendant plus de 12 ans.
Alors que je l'essayais en traînant un peu les pieds, imaginant que le plus petit moteur de la gamme s40 devait être anémique, j'ai été agréablement surpris. Il faut dire qu'avec un antédiluvien monospace TD et une encore plus ancienne Clio Cléon de 1.2, je pourrais prendre une Logan pour une voiture course...
Je me suis donc attaché à cette petite Volvo et j'espère bien pouvoir partager avec vous sa remise à niveau progressive.
Une dernière précision. Comme mon pseudo l'indique (plus ou moins), je suis de Nantes.
Volvoistes bretons et ligériens, me voilà.