855 bras essui glace

[denis]

ah celui la il est mur pour le passage a l'étau

[zaroc]

j'ai pas suivi le post mais bronsclo , tu me fais bien rire

[le maçon]

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ça reste des photos ?

ok pas mal .
Ce serait utile d'avoir une photo du bras coté conducteur dans le genre de la 2eme photo .

[didvolvov70tdi]

tiens j'ai celle-ci chef

http://img585.imageshack.us/img585/3554/p1090738o.jpg

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tiens celle -ci

http://img689.imageshack.us/img689/7128/p1090739n.jpg

[le maçon]

Ce msg s'adresse UNIQUEMENT à
1 - ceux qui ne s'offusqueront pas de recevoir (peut-être) un conseil, voire une toute petite "leçon" de géométrie, en l'occurrence,
2 – ceux qui sauront demander si besoin d'autres explications, si je n'ai pas été assez clair, plutôt que de d'écrire "je ne comprends rien, je cours acheter du neuf"
Les autres (du 1 surtout – ceux qui "savent") peuvent passer leur chemin. Je me comprends…

Rappel : les bras ne se tordent de fatigue ou de vieillesse, mais à mon avis, parce qu'en hiver, s'ils sont collés par le gel, un seul coup d'essuie-glace suffit à ce que le moteur torde le bras alu (il est assez costaud). On ne s'en rend pas compte sur le moment.

La seule vraie et bonne solution est, en hiver, de décoller les balais AVANT de monter en voiture (évacuer la glace qui serait au-dessus du balai et dégivrer le pare-brise pour que les balais ne soient pas bloqués dans leur course). L'eau chaude c'est le mieux. Et ne pas oublier de donner la consigne à un conducteur occasionnel !

Le meilleur moyen de contrôle me semble être de mesurer l'axe du pivot par rapport au pare- brise : la bonne côte me semble être 45-50 mm. Si quelqu'un peut mesurer sur des bras neufs, se serait plus juste (j'ai déjà redressé les miens).

Un relevé soigneux du bras neuf (cond et pass) serait utile à tous : tracer la projection sur une feuille à petits carreaux et relever les hauteurs caractéristiques, avec croquis en plan, élévation et qq photos…

La cale de bois avec les traits espacés de 10 mm donne une idée de la courbure côté conducteur (rappel : déjà reprise !)

La maladie peut aussi affecter le bras passager : le balai essuie moins bien à son extrémité, dans ce cas. Moins tortueux, il est y est néanmoins moins sujet

Le redressage peut se faire avec des équerres cartons utilisées sur les palettes, si on n'a pas de plomb.

Mesurer la côte avant démontage pour avoir une idée de ce qu'il y a à faire et procéder graduellement !
L'alu est peu élastique : il faut aller modérément au-delà de la position cherchée. Comme le cuivre, il s'écrouit vite et peut fissurer ou casser. Une chauffe préalable peut l'éviter mais la géométrie suffit ici : pas de cours de métallurgie ! Un bras redressé est donc souvent moins solide qu'un neuf.

Une fois redressé, remonter le bras, vérifier la côte et reprendre si besoin.
Pour assurer un meilleur blocage sur l'axe, sans serrer comme un sourd, on peut mettre de la colle utilisée pour les blocages d'arbres.

Inutile d'écraser le bras à plat : cela va le fragiliser et l'usure des balais sera plus rapide. Le bras pourrait aussi toucher qq part et on ne traite pas une Volvo comme une Renault…
Monter le balai passager côté conducteur est une solution de dépannage mais peu satisfaisante.

Pour ces deux derniers points, se demander pourquoi Volvo a conçu deux bras différents et s'est donné la peine de leur donner une forme si particulière.

A ceux qui ne sont pas convaincus qu'il est préférable de retrouver la forme d'origine, je conseillerais plutôt de monter des bras de Renault !
La cinématique des balais d'essuie-glace est une discipline à laquelle je tire mon chapeau. Il suffit de regarder le ballet (c'est le mot) des balais de certaines Citroën !

La précision qui suit vaut surtout pour le bras conducteur, plus tortueux. Prenez le temps de relire, si besoin.

Sa forme peut se réduire à deux angles :
1 un angle dans le plan "vertical" (perpendiculaire au pare-brise) – s'il est trop fort, la pression est insuffisante et l'essuyage imparfait
2 un angle dans le plan "horizontal" – celui du pare-brise : il détermine la forme de la surface de balayage
Il me semble que la somme des deux est ce qu'on appelle un angle solide…

Si l'on prend appui dans l'étau sur les deux points extrêmes (P et M), ce qui est le plus commode, on corrige l'angle vertical, ce qui est recherché, mais on ouvre aussi l'angle horizontal, ce qui n'est pas souhaité, en fait, ni souhaitable.

Au remontage, si l'on prend comme repère la position initiale du balai, on corrige (en partie seulement) cette modification de l'angle horizontal.

Cette correction "intuitive" conserve l'angle de balayage, lié à la cinématique de la tringlerie mais ne peut compenser la variation de la position du balai en position extrême : la forme de la surface balayée a en fait été modifiée. Cela se comprend "aisément" et peut se vérifier en pratique

Pour se rendre compte du phénomène, avant de démonter et redresser le bras à l'étau :
- couper le contact quand le balai conducteur est à fond à gauche
- mesurer la distance entre balai et bord du par brise, en haut et en bas du balai
Ce qui compte c'est l'écart entre ces deux cotes : s'il est nul, cela signifie que le balai finit sa course en étant parallèle au bord pare-brise.

Une fois écrasé à l'étau, la distance axe / pare-brise étant correcte :
- remonter le balai dans la même position basse de départ, -
- recouper le contact quand il est de nouveau à fond à gauche
- mesurer à nouveau la distance aux extrémités du balai
Normalement, l'écart de cotes ne sera plus le même et visuellement, le balai sera "moins parallèle" au bord du pare-brise qu'avant, du fait de l'ouverture de l'angle horizontal. Ceci explique l'observation faite par un membre.

La géométrie de la pièce fait que le phénomène s'aggrave à chaque fois que l'on redresse le bras à l'étau. A part dégivrer ou courir chez Volvo, la solution n'est pas simple :
- soit ne corriger que l'angle vertical, sans toucher à l'angle horizontal : cela demande de ne pas prendre appui aux points extrêmes, mais avant le départ de l'angle horizontal, par conséquent
- soit refermer l'angle horizontal après le passage à l'étau précédent, sur les points extrêmes

Ces deux solutions demandent
- des gabarits bois en forme pour prendre appui où il faut, sans marquer l'alu
- un peu de soin et de réflexion à la prise de cote et à la déformation
Il faut prendre soin aussi de ne pas vriller le bras : modifier l'angle axe du bras / goupille de la partie métallique. La position du balai serait défectueuse = mauvais essuyage dans un des sens (un balai essuie couché et il bascule selon le sens)

Il est conseillé de prendre des repères en trois dimensions avant cette opération : placer le balai sur un plan : tracer sa projection et mesurer les hauteurs aux points utiles – le tout avec précision. C'est comme quand on corrige une ligne d'échappement.

Le redressage peut aussi se faire en modifiant la cambrure de la partie acier (doigt) = étau aussi (l'effet est moins marqué à cet endroit - mais il n'y a qu'un angle)

Au remontage, vérifier que le balai gauche ne tape pas sur la baguette en fin de course. Cela ne se produit qu'en grande vitesse, du fait de l'énergie cinétique plus importante.

Ce msg étant long et ennuyeux, il a une DLL courte

Mal à la tête moi ...
Toi, quand un truc te tracasse, le moins qu'on puisse dire c'est que tu vas au fond des choses pour le résoudre!!!
Tu fais quoi dans la vie ?
Scientifique? Prof? Mécano? Ingénieur? Romancier? Ou tout à la fois?
En tout cas, tes thèses m'impressionnent autant qu'elles m'échappent souvent.

Ok , j'ai donc multiplier , puis diviser par le nombre de planete , ensuite j'ai fait le niveau grace au calendrier Maya puis ajouter le nombre de satellite perdu dans l'espace .......................et a la fin je suis passé par la case " etau "

Ca marche .......je sais pas comment mais ca marche !!