La coolitude de la boîte auto, c'est de se laisser glisser par le couple généreux d'un gros moteur que la boîte automatique saucissonne au gré de ta position sur le pied d'accélérateur 
.
Seul le pied droit officie à l'accélération ou au freinage reléguant la jambe gauche à un repos forcé, mais Ô combien agréable, à l'heure des encombrements.
Disposant de 4 rapports, elle va monter sa gamme pour vite se retrouver en 4ème dès 50 km/h.
D'ailleurs à ce propos, pour éviter d'être en excès de vitesse en zone urbaine, je recommande de bloquer le sélecteur en 3 où le 50 sera tenu.
Dès que tu sors de l'agglomération, tu pousses simplement le sélecteur en D où tu laisses vivre ta boîte pour prendre de l'allure.
S'agissant d'une boîte à l'ancienne, sans aucun pilotage par un boîtier électronique, tu éviteras les passages à la volée, de 4 en 3, 3 en 2, INUTILES, que les disques internes d'embrayage ne vont pas du tout aimer
...
Tu resteras en D, la majorité du temps. Même en ville
!
A l'exception notable de gravir une cote accidentée ou une descente à fort pourcentage où un frein-moteur sera OBLIGATOIRE pour éviter de fumer ses plaquettes de frein
C'est simple, en pareil cas, si tu es sur la bonne combinaison, tu dois ressentir une retenue grâce aux compressions du moteur sans avoir à toucher la pédale de frein.
Tu n'agiras sur tes freins froids que pour maintenir une allure compatible au relief, à la fréquentation et bien sûr, de ces jolis panneaux ornant le bord de nos routes.
Enfin, n'abuse pas du "kick down" - ou rétropédalage -, en appuyant à fond sur la pédale d'accélérateur sur un point dur!
Les reprises sont certainement meilleures pour effectuer un dépassement plus rapidement, pour se lancer sur une voie d'insertion un peu trop courte, mais elles sont énergivores.
SLURP! Z'aime bien le sans-plomb
!
A moins d'être maqué avec ton pompiste préféré...
Enfin, une fois à destination, tu poses le sélecteur en P ou en N avec le frein de parc et tu coupes le contact.
Au moment de reprendre du service, le moteur de ta Volvo ne s'ébrouera que boîte auto en P ou en N
Bonne et heureuse route en boîtoto !
.Seul le pied droit officie à l'accélération ou au freinage reléguant la jambe gauche à un repos forcé, mais Ô combien agréable, à l'heure des encombrements.
Disposant de 4 rapports, elle va monter sa gamme pour vite se retrouver en 4ème dès 50 km/h.
D'ailleurs à ce propos, pour éviter d'être en excès de vitesse en zone urbaine, je recommande de bloquer le sélecteur en 3 où le 50 sera tenu.
Dès que tu sors de l'agglomération, tu pousses simplement le sélecteur en D où tu laisses vivre ta boîte pour prendre de l'allure.
S'agissant d'une boîte à l'ancienne, sans aucun pilotage par un boîtier électronique, tu éviteras les passages à la volée, de 4 en 3, 3 en 2, INUTILES, que les disques internes d'embrayage ne vont pas du tout aimer
...Tu resteras en D, la majorité du temps. Même en ville
!A l'exception notable de gravir une cote accidentée ou une descente à fort pourcentage où un frein-moteur sera OBLIGATOIRE pour éviter de fumer ses plaquettes de frein
C'est simple, en pareil cas, si tu es sur la bonne combinaison, tu dois ressentir une retenue grâce aux compressions du moteur sans avoir à toucher la pédale de frein.
Tu n'agiras sur tes freins froids que pour maintenir une allure compatible au relief, à la fréquentation et bien sûr, de ces jolis panneaux ornant le bord de nos routes.
Enfin, n'abuse pas du "kick down" - ou rétropédalage -, en appuyant à fond sur la pédale d'accélérateur sur un point dur!
Les reprises sont certainement meilleures pour effectuer un dépassement plus rapidement, pour se lancer sur une voie d'insertion un peu trop courte, mais elles sont énergivores.
SLURP! Z'aime bien le sans-plomb
!A moins d'être maqué avec ton pompiste préféré...
Enfin, une fois à destination, tu poses le sélecteur en P ou en N avec le frein de parc et tu coupes le contact.
Au moment de reprendre du service, le moteur de ta Volvo ne s'ébrouera que boîte auto en P ou en N
Bonne et heureuse route en boîtoto
!
Volvo: le luxe, pas la frime
Citroen "oléo": le confort, pas la rime