18-07-2014, 19:03:39
(Modification du message : 19-07-2014, 17:24:51 par Olive 244 T.)
J'ai peur d'être déçu de l'évolution de l'automobile vers des déplaçoirs quelconques, uniformes; sans saveur, que ce soit chez Volvo ou ailleurs.
Un peu d'histoire: initié dans les années 80 en pleine Turbomania, un 4 cylindres 2,0 l turbo-essence de 150/160 ch était alors vanté comme la puissance d'un 6-en-L 3,0 litres avec l'économie du premier.
Nous, pour l'économie, on veut bien !
Mais avec des turbos bruts de décoffrage à deux étages de fonctionnement, on se sent(ait) tellement... vivants !
Le "downsizing" des temps modernes écolo-bobo va beaucoup trop loin .
Pour toujours "quatre pattes", une cylindrée de 2,0 l Turbo-essence, on dépasse les sages 180 ch d'une Mercedes C 200 pour culminer chez les Suédois à 245 ch sur une Volvo V 70 T-5.
Concernant les insectes rampant en ville, les C-3 Citroen tournent avec 3 petites papattes rejoignant techniquement l'ancêtre 2 CV à bi-cylindres, conçue à la lueur d'une bougie pendant la Seconde guerre mondiale et issue, elle, d'un contexte d'Après-guerre où l'Europe était sortie de ce conflit terrible; ravagée, ruinée.
Encore moins de cylindrées et moins de cylindres! Moins cher à fabriquer !
Là où les Américains déclarent avec un sourire carnassier que pour avoir des chevaux, il faut des "cubic inches" (cm3) pour les faire hennir, or, nous faisons tout le contraire !
Le "downsizing" actuel adopte déjà tous les codes de l'aseptisation mécanique.
Les turbo-essence à injecteurs d'essence piézo-électriques, avec une courbe de couple "en table" favorable à une conduite orientée volontairement économe, rationnelle, dont la gestion électronique va se charger de rappeler vite fait, au conducteur étourdi amateur de talons-pointe, qu'il ne sera jamais un pilote à bord...
Même si ce dernier ose une pointe de vitesse élevée ou une manœuvre routière quelque peu cavalière, toutes les béquilles électroniques veillent à le faire revenir vivant à la concession pour acheter un autre véhicule et signer un autre chèque !
L'hybridation Diesel/essence-électrique consacre cette époque délibérément "pain sans sel" de régime, de même que l'hypocrisie ambiante de notre société écolo-bobo avide de fabriquer toujours plus de nouveautés inutiles, profitables à tout un système de production cupide gaspillant honteusement les ressources de la planète.
Sans compter la rapacité d'un Etat toujours plus prompt à piquer des taxes "plein tarif" sur des véhicules vendus neufs.
Par contre, au passage, on ne manquera pas de saquer le client-conducteur d'un véhicule de prestige, "polluant" par la force des choses.
Pourquoi changer une méthode qui gagne ?
L'avenir technologique et commercial de la "pile à combustibles" reste à définir avec une application sur moteurs thermiques déjà connue sur des BMW 750 i fonctionnant à l'essence et à l'hydrogène.
Ou alors l'hydrogène va fabriquer de l'électricité?
Cette génératrice va alimenter directement des moteurs électriques placés à même les essieux de l'auto comme ceux des locomotives actuelles Diesel-électriques.
Enfin, une fois à bord de son nouvel engin futurobizarroïde sur route ouverte, la circulation à inter-distance et vitesse limitée, sera imposée par GPS allant jusqu'à commander l'électronique de bord de vos propres voitures.
Que restera t-il à notre conducteur des temps futurs?
Cela va nous rapprocher davantage du morne flux des obsolètes transports en commun, par route ou par voie ferrée, où le conducteur le plus velléitaire va tranquillement lire son journal comme son alter ego assis dans le train, justement, qui jouxte la route.
Cela va faire oublier la notion de "véhicule particulier" à ce qui reste encore de passion à l'homo-automobilus.
Puisse-t-elle reposer en paix !
Un peu d'histoire: initié dans les années 80 en pleine Turbomania, un 4 cylindres 2,0 l turbo-essence de 150/160 ch était alors vanté comme la puissance d'un 6-en-L 3,0 litres avec l'économie du premier.
Nous, pour l'économie, on veut bien !
Mais avec des turbos bruts de décoffrage à deux étages de fonctionnement, on se sent(ait) tellement... vivants !
Le "downsizing" des temps modernes écolo-bobo va beaucoup trop loin .
Pour toujours "quatre pattes", une cylindrée de 2,0 l Turbo-essence, on dépasse les sages 180 ch d'une Mercedes C 200 pour culminer chez les Suédois à 245 ch sur une Volvo V 70 T-5.
Concernant les insectes rampant en ville, les C-3 Citroen tournent avec 3 petites papattes rejoignant techniquement l'ancêtre 2 CV à bi-cylindres, conçue à la lueur d'une bougie pendant la Seconde guerre mondiale et issue, elle, d'un contexte d'Après-guerre où l'Europe était sortie de ce conflit terrible; ravagée, ruinée.
Encore moins de cylindrées et moins de cylindres! Moins cher à fabriquer !
Là où les Américains déclarent avec un sourire carnassier que pour avoir des chevaux, il faut des "cubic inches" (cm3) pour les faire hennir, or, nous faisons tout le contraire !
Le "downsizing" actuel adopte déjà tous les codes de l'aseptisation mécanique.
Les turbo-essence à injecteurs d'essence piézo-électriques, avec une courbe de couple "en table" favorable à une conduite orientée volontairement économe, rationnelle, dont la gestion électronique va se charger de rappeler vite fait, au conducteur étourdi amateur de talons-pointe, qu'il ne sera jamais un pilote à bord...
Même si ce dernier ose une pointe de vitesse élevée ou une manœuvre routière quelque peu cavalière, toutes les béquilles électroniques veillent à le faire revenir vivant à la concession pour acheter un autre véhicule et signer un autre chèque !
L'hybridation Diesel/essence-électrique consacre cette époque délibérément "pain sans sel" de régime, de même que l'hypocrisie ambiante de notre société écolo-bobo avide de fabriquer toujours plus de nouveautés inutiles, profitables à tout un système de production cupide gaspillant honteusement les ressources de la planète.
Sans compter la rapacité d'un Etat toujours plus prompt à piquer des taxes "plein tarif" sur des véhicules vendus neufs.
Par contre, au passage, on ne manquera pas de saquer le client-conducteur d'un véhicule de prestige, "polluant" par la force des choses.
Pourquoi changer une méthode qui gagne ?
L'avenir technologique et commercial de la "pile à combustibles" reste à définir avec une application sur moteurs thermiques déjà connue sur des BMW 750 i fonctionnant à l'essence et à l'hydrogène.
Ou alors l'hydrogène va fabriquer de l'électricité?
Cette génératrice va alimenter directement des moteurs électriques placés à même les essieux de l'auto comme ceux des locomotives actuelles Diesel-électriques.
Enfin, une fois à bord de son nouvel engin futurobizarroïde sur route ouverte, la circulation à inter-distance et vitesse limitée, sera imposée par GPS allant jusqu'à commander l'électronique de bord de vos propres voitures.
Que restera t-il à notre conducteur des temps futurs?
Cela va nous rapprocher davantage du morne flux des obsolètes transports en commun, par route ou par voie ferrée, où le conducteur le plus velléitaire va tranquillement lire son journal comme son alter ego assis dans le train, justement, qui jouxte la route.
Cela va faire oublier la notion de "véhicule particulier" à ce qui reste encore de passion à l'homo-automobilus.
Puisse-t-elle reposer en paix !
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