10-02-2014, 13:51:14
(Modification du message : 10-02-2014, 13:54:53 par Olive 244 T.)
Déjà les diesel à "l'ancienne" sans tous les équipements "pastèques-écolo" étaient des durs à cuire conçus pour abattre du kilomètre. C'est ainsi qu'ils amortissaient un coût d'entretien plus élevé qu'un véhicule équivalent à essence.
Leur raison d'être rejoint celle du gros rouleur professionnel que ce soit le chauffeur routier poids lourd, les taxis, les ambulanciers, les commerciaux, ...
Dans les faits, il faut désormais rouler 45 000 km pour amortir le surcoût à l'achat et l'entretien plus élevé d'un véhicule Diesel "haute technologie".
Les gens parcourent au mieux en moyenne 20 000 km par an. En ville, aux heures de pointe, ... petits trajets "à froid", souvent...
Au-delà des show-rooms où 8 véhicules sur 10 vendus sont des Diesel, l'acquéreur doit savoir qu'il signe là aussi son chèque pour une technologie de pointe ayant transformé des chevaux de traît en chevaux de course.
Tiercé gagnant?
Ce n'est pas la meilleure idée, de mon point de vue, l'électronisation reprise sur le modèle des moteurs à injection essence multi-point, une fois montée sur les diesel "haute pression" a fait gagner en puissance, en couple pour une moindre consommation que sur les Diesel à injection indirecte et directe d'autrefois.
On a perdu en fiabilité. Ce sont des faits.
Et, normes environnementales obligent (Euro 6, maintenant), outre les EGR, sur les véhicules commercialisés, les catalyseurs font partie de la panoplie "le gasole lave plus blanc" à l'échappement, ce qui est un leurre complet.
Voyez ou sentez plutôt!
Sur un Diesel "fapé", les particules "primaires" (les grosses, celles qu'on voit sortir du tuyau, hou !) ne viennent même plus salir un torchon blanc en sortie d'échappement. C'est à saluer!
En revanche, plus légères, les plus fines particules invisibles à l'œil nu polluent un périmètre beaucoup plus élevé que l'enceinte de la route (automobilistes, piétons jeunes et vieux, riverains en profitent) et ont le mauvais goût de pénétrer loin à l'intérieur des alvéoles pulmonaires causant des affections cardio-vasculaires très graves.
Je n'affirme rien tout seul, ce sont des faits relevant d'études sur le sujet au niveau international.
Au Japon, c'est pas dur, le Diesel sur véhicules de tourisme, ils n'en veulent pas!
Les constructeurs nippons ont même reconnus leur responsabilité sur les problèmes de santé engendrés par le Diesel au terme d'un procès retentissant il y a quelques années.
Imaginez Calvet, ex-PDG de PSA (de 83 à 97) le promoteur du Diesel à tout crin faire son "mea culpa" et hara-kiri . Inimaginable!
Attention, les amis (une bise sur le nez !), je n'ai strictement RIEN contre cette technologie moteur dont j'ai le plus grand respect, chauffeur SPL oblige.
Du Diesel en véhicule de tourisme, il en faut, mais il y en a TROP en France! Et pour n'importe quoi!
Peut-être est-ce le moment de réfléchir pour ceux qui ont la chance de signer le premier chèque en concess' de bien cerner leurs besoins concrets pour leur nouvelle voiture.
Si réfléchir n'est pas encore jugé utile en France, d'autres pays ont réfléchi et organisé l'interdiction la circulation des "poëles à mazout" sans FAP.
A l'heure où j'écris, de nombreux pays ont déjà légiféré pour laisser les Diesel anciens (sans FAP) à la porte des villes (Milan en Italie), les fameuses zones "environnement" allemandes (Umweltzonen) où les centres-ville sont "verboten" aux diesel sans FAP et aux essence sans Kat.
En France, certaines communes testent les zones dites "zapa" reprenant le principe de l'interdiction d'accès aux véhicules polluants.
Je le dis d'autant plus tranquillement que j'ai le choix d'usage de mes anciennes à essence pour les moyens trajets et UN Diesel (pas Volvo) Euro 2 officiel (et 3 dans les faits) pour les longs trajets demandés par certains clients.
Pour conclure, il faut acheter la voiture ancienne, moderne, essence, Diesel, ... de ses besoins réels pour en profiter pleinement, durablement.
Désolé d'avoir été un peu long! Non, pas sur la tête !
Leur raison d'être rejoint celle du gros rouleur professionnel que ce soit le chauffeur routier poids lourd, les taxis, les ambulanciers, les commerciaux, ...
Dans les faits, il faut désormais rouler 45 000 km pour amortir le surcoût à l'achat et l'entretien plus élevé d'un véhicule Diesel "haute technologie".
Les gens parcourent au mieux en moyenne 20 000 km par an. En ville, aux heures de pointe, ... petits trajets "à froid", souvent...
Au-delà des show-rooms où 8 véhicules sur 10 vendus sont des Diesel, l'acquéreur doit savoir qu'il signe là aussi son chèque pour une technologie de pointe ayant transformé des chevaux de traît en chevaux de course.
Tiercé gagnant?
Ce n'est pas la meilleure idée, de mon point de vue, l'électronisation reprise sur le modèle des moteurs à injection essence multi-point, une fois montée sur les diesel "haute pression" a fait gagner en puissance, en couple pour une moindre consommation que sur les Diesel à injection indirecte et directe d'autrefois.
On a perdu en fiabilité. Ce sont des faits.
Et, normes environnementales obligent (Euro 6, maintenant), outre les EGR, sur les véhicules commercialisés, les catalyseurs font partie de la panoplie "le gasole lave plus blanc" à l'échappement, ce qui est un leurre complet.
Voyez ou sentez plutôt!
Sur un Diesel "fapé", les particules "primaires" (les grosses, celles qu'on voit sortir du tuyau, hou !) ne viennent même plus salir un torchon blanc en sortie d'échappement. C'est à saluer!
En revanche, plus légères, les plus fines particules invisibles à l'œil nu polluent un périmètre beaucoup plus élevé que l'enceinte de la route (automobilistes, piétons jeunes et vieux, riverains en profitent) et ont le mauvais goût de pénétrer loin à l'intérieur des alvéoles pulmonaires causant des affections cardio-vasculaires très graves.
Je n'affirme rien tout seul, ce sont des faits relevant d'études sur le sujet au niveau international.
Au Japon, c'est pas dur, le Diesel sur véhicules de tourisme, ils n'en veulent pas!
Les constructeurs nippons ont même reconnus leur responsabilité sur les problèmes de santé engendrés par le Diesel au terme d'un procès retentissant il y a quelques années.
Imaginez Calvet, ex-PDG de PSA (de 83 à 97) le promoteur du Diesel à tout crin faire son "mea culpa" et hara-kiri . Inimaginable!
Attention, les amis (une bise sur le nez !), je n'ai strictement RIEN contre cette technologie moteur dont j'ai le plus grand respect, chauffeur SPL oblige.
Du Diesel en véhicule de tourisme, il en faut, mais il y en a TROP en France! Et pour n'importe quoi!
Peut-être est-ce le moment de réfléchir pour ceux qui ont la chance de signer le premier chèque en concess' de bien cerner leurs besoins concrets pour leur nouvelle voiture.
Si réfléchir n'est pas encore jugé utile en France, d'autres pays ont réfléchi et organisé l'interdiction la circulation des "poëles à mazout" sans FAP.
A l'heure où j'écris, de nombreux pays ont déjà légiféré pour laisser les Diesel anciens (sans FAP) à la porte des villes (Milan en Italie), les fameuses zones "environnement" allemandes (Umweltzonen) où les centres-ville sont "verboten" aux diesel sans FAP et aux essence sans Kat.
En France, certaines communes testent les zones dites "zapa" reprenant le principe de l'interdiction d'accès aux véhicules polluants.
Je le dis d'autant plus tranquillement que j'ai le choix d'usage de mes anciennes à essence pour les moyens trajets et UN Diesel (pas Volvo) Euro 2 officiel (et 3 dans les faits) pour les longs trajets demandés par certains clients.
Pour conclure, il faut acheter la voiture ancienne, moderne, essence, Diesel, ... de ses besoins réels pour en profiter pleinement, durablement.
Désolé d'avoir été un peu long! Non, pas sur la tête !
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