@ Gilles
Dans le triumvirat Peugeot-Renault-Volvo, en fait, chacun a adopté l'âme de ce V6 et l'a adapté selon ses choix techniques et économiques.
Je suis sincèrement désolé que tes deux Renault confirment une faiblesse du circuit de refroidissement, car j'imagine volontiers ton engagement pour une mécanique à la personnalité réellement attachante:
le V6 PRV "à l'ancienne" et le V6 PRV "équilibré" que j'ai eu l'occasion de conduire en coupé 780 Bertone B 280 F.
Il n'a plus la mélodie rocailleuse de son aîné B 28 E, qui, en gentleman farmer, raffiné et si facile à vivre privilégie le travail du couple sur les folles envolées vaines.
Le B 280 ajoute une dimension sensuelle, féline, prenant des tours plus voluptueusement. On l'aurait voulu ainsi, dès les débuts, mais c'est bien vite oublier le charme du B 27 originel de la 262 C Bertone aux accents de V8 américain
.
Avez-vous essayé
?
Ceci dit, comme toi Gilles et d'autres de nos amis, la mélodie rauque et hargneuse du B 52xx de notre fidèle 850 m'envoûte dès les 3 500 tr/mn. Ce straight-five me fait irrésistiblement penser aux Audi Quattro menées de main de maîtresse par Michèle Mouton dans les années 80.
Le point commun: une réputation injuste de moteur bâtard.
Comparer? Non!
Opposer? Non!
Compléter? Oui et comment

!
J'adore ce V6 simple et sans chichis et j'adore ce 5 cylindres mélodieux, discret et ... redoutable
!
Merci à Celto pour sa patience VERY BIG UP!
Dans le triumvirat Peugeot-Renault-Volvo, en fait, chacun a adopté l'âme de ce V6 et l'a adapté selon ses choix techniques et économiques.
Je suis sincèrement désolé que tes deux Renault confirment une faiblesse du circuit de refroidissement, car j'imagine volontiers ton engagement pour une mécanique à la personnalité réellement attachante:
le V6 PRV "à l'ancienne" et le V6 PRV "équilibré" que j'ai eu l'occasion de conduire en coupé 780 Bertone B 280 F.
Il n'a plus la mélodie rocailleuse de son aîné B 28 E, qui, en gentleman farmer, raffiné et si facile à vivre privilégie le travail du couple sur les folles envolées vaines.
Le B 280 ajoute une dimension sensuelle, féline, prenant des tours plus voluptueusement. On l'aurait voulu ainsi, dès les débuts, mais c'est bien vite oublier le charme du B 27 originel de la 262 C Bertone aux accents de V8 américain

Avez-vous essayé

Ceci dit, comme toi Gilles et d'autres de nos amis, la mélodie rauque et hargneuse du B 52xx de notre fidèle 850 m'envoûte dès les 3 500 tr/mn. Ce straight-five me fait irrésistiblement penser aux Audi Quattro menées de main de maîtresse par Michèle Mouton dans les années 80.
Le point commun: une réputation injuste de moteur bâtard.
Comparer? Non!
Opposer? Non!
Compléter? Oui et comment



J'adore ce V6 simple et sans chichis et j'adore ce 5 cylindres mélodieux, discret et ... redoutable

Merci à Celto pour sa patience VERY BIG UP!