Univers-volvo

Version complète : Pièces d'origine chinoise (à peu près toutes)
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Ne dites plus « L’empire du milieu » mais « L’empire des extrêmes ».

A méditer :
Pour réparer le cadre d’un tableau j’ai utilisé de petites vis à bois, neuves : plus du tiers étaient défectueuses : Empreinte trop étroite (même une vis sans empreinte) ou pas assez profonde, rupture de la tête en vissant…
Vis chinoises en acier électrozingué, reconnaissables à un autre détail : un point de rouille sur l’une d’elles.
Faute de mieux, j’ai utilisé des vis en laiton neuves mais anciennes (françaises) : aucun écart dimensionnel préjudiciable, vissage sans abimer les têtes. Ceux qui ont suivi seront surpris que du laiton français soit plus résistant que de l’acier chinois.

Il en est de même pour les pièces auto que vous achetez « pas cher », comme celles avec un faux nom germanique. Enfin, le pensent ceux qui ne savent pas ramener le prix de la pièce en €/km parcouru, ceux qui ne "savent" pas compter.

Le premier fautif est « l’acheteur » le "tout puissant incapable" que l’on trouve partout.
Puissant car il peut demander n’importe quoi à un fournisseur pour avoir un prix bas ou le pousser à faire n’importe quoi pour tenir ce prix.
Puissant, car il tient la vie des fournisseurs entre ses mains, obligés de céder pour fabriquer, vendre, vivre.
Incapable, car une fois la marchandise livrée, l’acheteur s’en désintéresse
Incapable car il ne sait pas contrôler ce qu’il a acheté (en plus ce serait cher) : respect des normes, conformité des matériaux (nuance d'acier...), des traitements thermiques ou anti corrosion, des tolérances, du montage…

Le sous-produit qui en résulte n’est que la conséquence de cette incapacité, incapacité qui, si elle n’était pas abyssale, conduirait à des produits plus chers mais durables et donc économiques (faible coût au km).

Possible que les rappels des autos neuves soient dus aux méfaits des acheteurs intégrés.

Peut-être qu’un jour :
« Papa, plus tard je veux être acheteur ! »
« Je te l’interdis ! Je ne veux pas avoir honte de toi. »

L'empire des extrêmes ?
D’un côté la Chine arrive à envoyer des satellites mais de l’autre, elle nous inonde de saloperies (pour nous noyer, cela va de soi).
Un chinois sans contrôles est capable de tout, comme de mettre de la mélamine dans le lait en poudre pour bébés, ce qui les tue.
Quoique chez nous avec les prothèses PIP...
+1 avec VLD, en Chine seul compte l'instant présent et la quantité de business qui peut être réalisé dans un minimum de temps. Quant au futur et les possibles conséquences sur ce mode de fonctionnement... ? Pour eux, ce n'est pas un sujet !
Et ces en.....s qui osent encore te vendre des matériels avec des vis à tête auto-sécable, rendant tout démontage impossible ...
Et des boitiers électroniques emplis de résine...
Des soudures avec si peu de métal qu'à la première manipulation tu fous tout l'air...
Des matériaux synthétiques qui se désagrègent plus vite que le "bio dégradable" made in chez eux...
« Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent plus pour que ça ne se vende pas »
Coluche.
Cela a dû commencer en Chine à peu près de cette façon, dans une réunion en petit comité :

Espionner les industriels occidentaux chez eux pour les copier n’est plus satisfaisant.
En leur faisant miroiter notre marché intérieur, invitons les entreprises qui nous intéressent à ouvrir des usines chez nous. Toujours en joint-venture.
Leurs savoir-faire n’auront plus de secrets ; nous pourrons les copier à loisir et cloner ces usines.
Quand nous seront prêts, nous vendrons nos copies chez eux, à 10 $ quand ils vendent 100 $.
Nous aurons tôt fait de mener leurs entreprises à fermer et nous pourrons racheter pour presque rien des usines complètes à remonter chez nous pour augmenter encore notre puissance.
Leur concurrence disparaissant et nos compétences augmentant, nous pourrons progressivement vendre plus cher : 20, 30 puis 70 $ ce qui ne nous coûtera toujours guère plus que 10 $. La différence nous apportera les devises pour accroitre encore notre action, notre puissance.
D’ici quelques décennies, leurs savoir-faire perdus, ils seront contraints d’acheter les produits que nous voudrons bien leur vendre et au prix que nous déciderons. Accepter nos conditions, payer ou se priver !
On appellera cela les routes de la soie.
Les fourmis légionnaires seront notre modèle : au travail, camarades !
+ 1, et l'obsolescence programmé fait parti bien malheureusement de ce système qui pousse à racheter plutôt qu'à réparer.
Pourquoi les enfants chinois ne croient pas au Père Noël ?