On en avait discuté ici-même. J'avais aussi le doute étant donné que PSA est un diéséliste favorablement connu sur la place.
Alors, pour enfoncer le clou, il est conseillé d'éviter le 1,6 l Hdi. Quel code-moteur? Sais pu
...
Fort de 110 ch, il a notoirement connu des problèmes majeurs comme des casses turbo, des injecteurs qui fuyent,... sans pour cela atteindre des kilomètres indécents.
PSA a sa part de responsabilité car avait pourvu des échéances techniques ahurissantes de 30 000 km
!
L'huile-moteur souillée semble souvent revenir sur le tapis des incidents collatéraux.
PSA a retravaillé les éléments mécaniques en cause.
PSA a donc préconisé un rapprochement des vidanges autour de 10/15 000 km MAXI et préconisé une huile-moteur de synthèse dédiée.
Sur ce bloc Hdi multicartes, il en ressort beaucoup moins de retours de clients et la fiabilité semble être de retour avec le respect des ces préconisations.
Pour le 2,0 Hdi de 133 ch, les problèmes n'ont pas atteint l'ampleur du petit 1,6 l, mais il ne doit pas être exempt de reproches.
Ceci posé, avec un taux d'équipement de 8 voitures particulières Diesel sur 10 en France, que ce soit à l'ancienne ou en moderne, pour moi il y a AUSSI un problème côté conducteur-utilisateur.
Je ne suis pas sûr que l'éternel gros bosseur sur grande distance qu'est le moteur Diesel soit à sa place dans les encombrements, les petits kilométrages à froid avec pour premiers problèmes des EGR et des FAP encrassés des suies de la mort
.
Un petit HS vite fait sur le gaz
?
Puisque nous sommes encore chez PSA, restons-y encore un peu ?
J'ai un collègue motorisé en Xm 2,5 L Turbo-Diesel, ayant autour de 300 000 km. J'ai également une Xm avec un kilométrage sensiblement identique.
Nous nous sommes suivis dans une ballade sympa sur les petites routes en Picardie.
La sienne fume.
La mienne ne fume pas.
Il roule essentiellement en péri-urbain sur des trajets relativement courts.
Je n'utilise mon Diesel que passé 25 km pour un aller simple et privilégie les grandes distances. La mienne a un passé "tracké" de grande routière.
C'était un de mes motifs d'achat.
Reste la qualité du nectar bu pour étancher la soif de nos Diesel Super Luxe.
Mon collègue, je ne sais pas où il se procure son GO.
A titre préventif, je coule du gasole Premium "dégriffé" T*tal vendu chez T*tal Access, Ess* Express, ... à peine plus cher que chez Carrouf' tout à côté.
HS OFF.
Pour revenir au sujet, même si la "petite" V 50 est amenée à fréquenter la ville de par son gabarit plus étroit et simple à garer, il s'agit AVANT TOUT d'un Diesel.
Il me parait intéressant de savoir s'il s'agit d'une Volvo ayant parcouru majoritairement de la route ou bien si elle a fait l'objet de parcours locaux répétitifs à courte distance.
Les 200/300 000 km relevés aux compteurs de chacune d'elles ne présentent absolument pas le même niveau d'usure.
Quelques indices à la volée
?
D'aspect extérieur, même et surtout avec les années, une routière est super-propre de caisse et de peinture. Elle n'est ni frottée, ni bugnée.
A l'intérieur, les traces d'usure sont modérées et homogènes. Observez les caoutchoucs des pédales, la couronne du volant, le pommeau du levier de vitesses, ...
Le grain originel doit être visible et se sentir au toucher.
En dynamique, une routière ne fume que modérément à l'accélération et aux reprises. C'est la marque de fabrique du Diesel v. moteur Otto sans tomber dans les excès.
Les excès, ce sont les gros nuages noirs façon "poulpe D 24" fuyant des prédateurs routiers; ils doivent vous mettre le doute
.
Enfin, l'embrayage doit être souple tout comme le passage des vitesses, même à froid.
Pour conclure, car je vous assomme
, il n'y a pas de mauvais moteurs dans le fond, il n'y a qu'une mauvaise utilisation.
Bonne pêche
!
), je me cherche une nouvelle voiture avec un budget léger 
![[Image: 6392761001957.jpg]](http://img15.hostingpics.net/pics/6392761001957.jpg)
donc de ce côté la tu est tranquille.