02-10-2013, 14:12:18
Je viens d'acquérir une volvo. Je me suis déjà présentée mais je crois que ça vaut le coup de poster ce message, reçu de mon frère, ancien possesseur de Volvo (la mienne est la 4è de la famille)
******************** ALERTE: UNE NOUVELLE PATHOLOGIE ADDICTIVE DECOUVERTE EN FRANCE ***************
Quelques cas d'une nouvelle pathologie addictive nous ont été signalés. Même si le nombre de cas identifiés et ayant nécessité une prise en charge médicale sont peu nombreux, le tableau symptomatique est tout à fait caractérisé. Il convient donc dès maintenant de prendre les mesures qui s'imposent: recensement des nouveaux cas, mesure de l'incidence, développement des recherches, et élaboration d'un guide de bonnes pratiques par une conférence de consensus programmée pour le premier semestre 2014.
Symptomatologie: cette addiction pathologique se caractérise par un attachement quasi frénétique à des véhicules de marque Volvo, et tout particulièrement des breaks de modèles anciens, tous antérieurs à la Volvo 850. Le break 940 est le modèle qui cristallise cette addiction. Relevons, c'est ce qui nous permet de caractériser d'addiction cette pathologie, le caractère irrationnel de cet attachement à des véhicules qui consomment couramment 10 litres aux 100, dont la morphologie anguleuse est en rupture avec les formes contemporaines et dont la puissance fiscale élevée s'accompagne de tarifs d'assurance prohibitifs. Comme dans d'autres pathologies psychiatriques, les personnes affectées s'installent souvent dans un déni fondé sur un délire réinterprétatif: les uns affirment que leur véhicule fonctionne au GPL, d'autres qu'ils ne consomme "que" 9 litres aux 100. Les perspectives d'évolution sont peu favorables: dans le meilleur des cas, le malade enkyste son délire anosognosique, qui devient chronique.
Traitement: Aucun traitement spécifique n'a encore été mis au point. La prescription de sédatifs peut s'avérer nécessaire, avec un accompagnement psychothérapeuthique. Mais on ne peut guère espérer que des rémissions. La littérature fait état d'un patient, A., qui a suivi un groupe de parole (les VA: volvoliques anonymes) pour essayer de combattre son addiction mais qui craint de rechuter à la première occasion.
Etiologie: Il s'agit vraisemblablement d'une pathologie multi-factorielle. La fréquence des personnes atteintes au sein d'une même famille conforte l'hypothèse d'une composante génétique prépondérante, avec des facteurs déclenchants qui seraient transmissibles, au sein de la fratrie notamment.
Discussion: cette pathologie ne doit pas être confondue avec celle qui affecte les propriétaires de Van VW, qui est tout aussi sévère mais dont les formes délirantes sont originales, avec identification à des personnages de série télévisée (syndrome de MacGyver). De surcroît, cette pathologie frappe parfois des couples, sans qu'on doive pour autant les classer dans les MST.
******************** ALERTE: UNE NOUVELLE PATHOLOGIE ADDICTIVE DECOUVERTE EN FRANCE ***************
Quelques cas d'une nouvelle pathologie addictive nous ont été signalés. Même si le nombre de cas identifiés et ayant nécessité une prise en charge médicale sont peu nombreux, le tableau symptomatique est tout à fait caractérisé. Il convient donc dès maintenant de prendre les mesures qui s'imposent: recensement des nouveaux cas, mesure de l'incidence, développement des recherches, et élaboration d'un guide de bonnes pratiques par une conférence de consensus programmée pour le premier semestre 2014.
Symptomatologie: cette addiction pathologique se caractérise par un attachement quasi frénétique à des véhicules de marque Volvo, et tout particulièrement des breaks de modèles anciens, tous antérieurs à la Volvo 850. Le break 940 est le modèle qui cristallise cette addiction. Relevons, c'est ce qui nous permet de caractériser d'addiction cette pathologie, le caractère irrationnel de cet attachement à des véhicules qui consomment couramment 10 litres aux 100, dont la morphologie anguleuse est en rupture avec les formes contemporaines et dont la puissance fiscale élevée s'accompagne de tarifs d'assurance prohibitifs. Comme dans d'autres pathologies psychiatriques, les personnes affectées s'installent souvent dans un déni fondé sur un délire réinterprétatif: les uns affirment que leur véhicule fonctionne au GPL, d'autres qu'ils ne consomme "que" 9 litres aux 100. Les perspectives d'évolution sont peu favorables: dans le meilleur des cas, le malade enkyste son délire anosognosique, qui devient chronique.
Traitement: Aucun traitement spécifique n'a encore été mis au point. La prescription de sédatifs peut s'avérer nécessaire, avec un accompagnement psychothérapeuthique. Mais on ne peut guère espérer que des rémissions. La littérature fait état d'un patient, A., qui a suivi un groupe de parole (les VA: volvoliques anonymes) pour essayer de combattre son addiction mais qui craint de rechuter à la première occasion.
Etiologie: Il s'agit vraisemblablement d'une pathologie multi-factorielle. La fréquence des personnes atteintes au sein d'une même famille conforte l'hypothèse d'une composante génétique prépondérante, avec des facteurs déclenchants qui seraient transmissibles, au sein de la fratrie notamment.
Discussion: cette pathologie ne doit pas être confondue avec celle qui affecte les propriétaires de Van VW, qui est tout aussi sévère mais dont les formes délirantes sont originales, avec identification à des personnages de série télévisée (syndrome de MacGyver). De surcroît, cette pathologie frappe parfois des couples, sans qu'on doive pour autant les classer dans les MST.
![[Image: lol.gif]](http://illiweb.com/fa/i/smiles/lol.gif)