bonjour
je viens d'acquérir une volvo 850 t5 break, qui m'a fait rever depuis tant d'années.
je suis de la drome, du coté de valence
A tres vite pour des photos de la belle ...... à rafraichir
bienvenue
Bienvenu ici
Bienvenu chez les fous de t5!!
(07-08-2013, 20:58:24)viet45 a écrit : [ -> ]Bienvenu chez les fous de t5!!
+1
bienvenue chez les ouf de VOLVO
Bienvenue à toi et à ton T5.
Bienvenue !
Bienvenu ici
Bienvenue
Bonjour, et bienvenue sur ce forum
Bonjour Crith !
La bienvenue
ah enfin un dromois
bienvenue a toi et fais moi signe si tu veux te faire une virée de temps en temps ^^
je suis de romans
Le pays des ravioles
c'est vrai que c'est bon ces conneries
la raviole, la pogne, le saint genix, le saint marcelin, les hermitages,...
y'a tout pleins de trucs vers chez nous
j'ai bossé pour une boite de roman. je me souviens des ravioles servies dans un petit resto en bord d'izère.... mmmmiiiaaammmm!!!!!
plus belle region de france <3
et si tu elargie a peine, tu as les nougats de montelimar, les noix de grenoble, la clairette de die,....
le meilleur coin pr la bouffe
A Grignan, vit un des plus grands poètes d'origine Suisse encore vivant (87 ans)
Il s'appelle Philippe Jaccottet et ce qu'il écrit est pure merveille
Hello, Crithadyl!
Bienvenue ici, et bravo pour ton acquisition! Je viens d'acquérir la même Volvo que toi; bon, il y a quelques petits soucis dûs à son grand âge, mais quel pied à conduire!
ha grenoble! ma ville natale d ailleurs j y vais demain pour la semaine
Bienvenue.
@ domi : fais moi signe si t dispo un soir ds la semaine pr boire des canons , je suis a grenoble la semaine ^^
La nuit est une grande cité endormie
où le vent souffle... Il est venu de loin jusqu'à
l'asile de ce lit. C'est la minuit de juin.
Tu dors, on m'a mené sur ces bords infinis,
le vent secoue le noisetier. Vient cet appel
qui se rapproche et se retire, on jurerait
une lueur fuyant à travers bois, ou bien
les ombres qui tournoient, dit-on, dans les enfers.
(Cet appel dans la nuit d'été, combien de choses
j'en pourrais dire, et de tes yeux...) Mais ce n'est que
l'oiseau nommé l’effraie qui nous appelle au fond
de ces bois de banlieue. Et déjà notre odeur
est celle de la pourriture au petit jour,
déjà sous notre peau si chaude perce l’os,
tandis que sombrent les étoiles au coin des rues.
(L'Effraie, éd. Gallimard, 1953)
Philippe Jaccottet